Conception de modèle efficace avec mise à l'échelle différentiable du modèle
Une nouvelle méthode pour améliorer les structures de modèles de manière plus efficace et efficiente.
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Table des matières
- Ce qu'on a introduit
- Importance de la mise à l'échelle du modèle
- Défis des techniques actuelles
- Notre approche : Différentiable Model Scaling
- Résultats de notre méthode
- Méthodes précédentes et leurs limitations
- Notre opérateur top-k différentiable
- Contraintes de ressources dans la mise à l'échelle des modèles
- Comparaisons avec d'autres approches
- Expériences supplémentaires
- Conclusion
- Source originale
Ces dernières années, les modèles de langage de grande taille ont attiré beaucoup d'attention grâce à leur capacité à réaliser différentes tâches. Ça a entraîné un focus sur comment on peut améliorer ces modèles en ajustant leur structure. Beaucoup de modèles existants sont conçus par des humains, ce qui peut parfois mener à des performances pas top. Pour résoudre ce problème, des chercheurs ont proposé des techniques qui peuvent automatiquement trouver de meilleures conceptions pour les modèles. Cependant, ce processus peut être lent et inefficace.
Ce qu'on a introduit
On propose une nouvelle méthode appelée Différentiable Model Scaling (DMS). Notre méthode est conçue pour trouver la meilleure largeur et profondeur d'un modèle de manière plus efficace. Ça fonctionne en modélisant directement les caractéristiques du modèle d'une manière facile à ajuster et à optimiser. On a testé DMS sur différentes tâches, y compris la reconnaissance d'images et le traitement du langage, en utilisant différents types de modèles. Les résultats montrent que DMS trouve systématiquement de meilleures structures et performe mieux que les méthodes existantes.
Importance de la mise à l'échelle du modèle
La taille et la composition d'un modèle sont cruciales. La largeur d'un modèle fait référence à combien de caractéristiques ou de canaux il a, et la profondeur fait référence à combien de couches il contient. Trouver le bon équilibre sur ces aspects est la clé pour créer un modèle qui fonctionne bien. Des gros modèles comme GPT-4 ont montré que l'augmentation de taille peut mener à de meilleures performances, soulignant le besoin de techniques de mise à l'échelle efficaces.
Défis des techniques actuelles
Actuellement, la plupart des modèles sont encore conçus par des experts, ce qui prend beaucoup de temps et de ressources. Pour automatiser cette tâche, des méthodes de Neural Architecture Search (NAS) ont émergé. Cependant, les façons dont ces méthodes fonctionnent peuvent être divisées en deux groupes : celles qui s'appuient sur un échantillonnage aléatoire et celles qui utilisent des techniques basées sur le gradient.
Les méthodes de recherche stochastique échantillonnent divers designs de modèles, mais elles peuvent être lentes et pas très efficaces. Ça peut mener à des coûts élevés et à des performances médiocres. D'un autre côté, les Méthodes basées sur le gradient utilisent des gradients pour optimiser les paramètres de conception. Elles sont généralement plus efficaces mais font face à des défis pour modéliser directement les caractéristiques structurelles des modèles.
Notre approche : Différentiable Model Scaling
Pour surmonter ces défis, on a développé un opérateur top-k différentiable. Cet opérateur nous permet de modéliser la largeur et la profondeur d'un modèle de manière directe et fluide. En utilisant un paramètre apprenable, on peut optimiser le modèle en fonction des besoins de la tâche et des Contraintes de ressources.
Avec cette approche, on peut chercher efficacement la meilleure structure pour différentes tâches et modèles. Notre méthode fonctionne bien sur différentes architectures, telles que les réseaux de neurones convolutifs (CNN) et les transformeurs.
Résultats de notre méthode
On a mis DMS à l'épreuve sur une gamme de tâches et d'architectures de modèles.
- Pour la classification d'images sur ImageNet, notre méthode a amélioré la précision de EfficientNet-B0 et Deit-Tiny de 1,4 % et 0,6 %, respectivement.
- Dans les tâches de détection d'objets sur COCO, DMS a amélioré la moyenne de précision (mAP) de Yolo-v8-n de 2,0 %.
- Pour le modélisation du langage, notre version taillée de Llama-7B a surpassé les techniques précédentes, atteignant des taux de confusion plus bas et une meilleure précision de classification.
Méthodes précédentes et leurs limitations
Beaucoup d'approches existantes peuvent être catégorisées selon comment elles cherchent des structures de modèles optimales.
Méthodes de recherche stochastique
Les méthodes stochastiques suivent généralement un schéma simple d'échantillonnage de différentes structures et d'évaluation. Cependant, elles nécessitent souvent des ressources et du temps considérables pour entraîner plusieurs modèles. Les types les plus courants de méthodes stochastiques incluent :
- Multi-shot NAS : Ça nécessite l'entraînement de plusieurs modèles, ce qui prend beaucoup de temps.
- One-shot NAS : Ça repose sur un seul grand modèle où tous les modèles potentiels sont entraînés en même temps, ce qui est aussi lourd en ressources.
- Zero-shot NAS : Cette méthode ne forme aucun modèle mais a tendance à avoir des problèmes de performance.
Méthodes basées sur le gradient
Les approches basées sur le gradient sont généralement plus rapides et efficaces. Elles utilisent des gradients pour optimiser la structure, ce qui aide à améliorer les performances du modèle. Cependant, elles font face à un défi majeur : comment modéliser directement les caractéristiques structurelles d'une manière fluide et facilement optimisable.
Elles peuvent être divisées en trois catégories :
- Sélection de plusieurs éléments : Cette stratégie modélise le nombre de caractéristiques comme plusieurs choix, ce qui complique le processus d'optimisation et peut mener à des résultats sous-optimaux.
- Sélection d'un seul nombre : Ça modélise le nombre de caractéristiques comme un seul choix, ce qui fait manquer des relations importantes.
- Estimation de gradient Topk : Ça essaie de modéliser directement la largeur et la profondeur mais manque souvent de stabilité.
Chacune de ces méthodes a ses limitations, principalement à cause de leur approche de modélisation des caractéristiques, ce qui entraîne des inefficacités et des inéfficacités.
Notre opérateur top-k différentiable
Pour améliorer l'efficacité de la recherche de modèles, on a introduit un opérateur top-k différentiable. Cet opérateur permet de modéliser directement les caractéristiques structurelles et est suffisamment fluide pour être optimisé efficacement.
Étapes clés de notre méthode
- Normalisation de l'importance : On ajuste l'importance des éléments pour lisser les distributions inégales, rendant l'optimisation plus facile.
- Génération de masque doux : Après la normalisation, on crée un masque qui indique quelles caractéristiques doivent être conservées, permettant à nouveau une optimisation fluide.
Avec cet opérateur, on peut chercher de manière flexible et efficace des structures de modèles optimales sous diverses contraintes.
Contraintes de ressources dans la mise à l'échelle des modèles
Lors de la mise à l'échelle des modèles, il est important de s'assurer qu'ils ne dépassent pas les limites de ressources fixées. Notre méthode inclut un composant pour la perte de contrainte de ressources, qui aide à guider l'optimisation du modèle en fonction à la fois des performances de la tâche et de l'utilisation des ressources.
Ça signifie qu'on peut chercher des modèles qui non seulement performent bien mais s'adaptent aussi aux limites de ressources imposées par les utilisateurs.
Comparaisons avec d'autres approches
On a comparé DMS avec des méthodes de recherche existantes basées sur le gradient et stochastiques.
- Contre les méthodes basées sur le gradient : DMS surpasse les méthodes de sélection de plusieurs éléments et de sélection d'un seul numéro en utilisant moins de paramètres tout en atteignant une meilleure précision.
- Contre les méthodes stochastiques : DMS nécessite une fraction des ressources utilisées par les algorithmes évolutionnaires, résultant systématiquement en une performance supérieure.
Expériences supplémentaires
On a appliqué notre méthode de manière efficace sur différentes tâches et architectures, montrant sa polyvalence.
- CNNs : On a testé DMS sur des architectures comme ResNet et MobileNetV2, atteignant des améliorations significatives de leurs performances par rapport aux modèles d'origine.
- Transformers : Notre méthode a aussi été appliquée aux modèles transformeurs, montrant qu'elle peut s'adapter à différents types de modèles et donner de meilleures performances.
Conclusion
En résumé, le Différentiable Model Scaling (DMS) est une méthode efficace et polyvalente pour trouver des structures de modèles optimales. Elle offre un avantage clair par rapport aux méthodes existantes, facilitant la conception de modèles performants sur différentes tâches et architectures. Avec DMS, on peut atteindre de meilleures performances tout en respectant les contraintes de ressources, ouvrant la voie à des applications plus pratiques dans le domaine de l'apprentissage automatique.
En se concentrant sur des techniques de mise à l'échelle efficaces, on peut réduire considérablement le temps et les ressources nécessaires pour développer des modèles efficaces, rendant les avancées en intelligence artificielle plus accessibles pour diverses applications et industries.
Titre: Differentiable Model Scaling using Differentiable Topk
Résumé: Over the past few years, as large language models have ushered in an era of intelligence emergence, there has been an intensified focus on scaling networks. Currently, many network architectures are designed manually, often resulting in sub-optimal configurations. Although Neural Architecture Search (NAS) methods have been proposed to automate this process, they suffer from low search efficiency. This study introduces Differentiable Model Scaling (DMS), increasing the efficiency for searching optimal width and depth in networks. DMS can model both width and depth in a direct and fully differentiable way, making it easy to optimize. We have evaluated our DMS across diverse tasks, ranging from vision tasks to NLP tasks and various network architectures, including CNNs and Transformers. Results consistently indicate that our DMS can find improved structures and outperforms state-of-the-art NAS methods. Specifically, for image classification on ImageNet, our DMS improves the top-1 accuracy of EfficientNet-B0 and Deit-Tiny by 1.4% and 0.6%, respectively, and outperforms the state-of-the-art zero-shot NAS method, ZiCo, by 1.3% while requiring only 0.4 GPU days for searching. For object detection on COCO, DMS improves the mAP of Yolo-v8-n by 2.0%. For language modeling, our pruned Llama-7B outperforms the prior method with lower perplexity and higher zero-shot classification accuracy. We will release our code in the future.
Auteurs: Kai Liu, Ruohui Wang, Jianfei Gao, Kai Chen
Dernière mise à jour: 2024-05-12 00:00:00
Langue: English
Source URL: https://arxiv.org/abs/2405.07194
Source PDF: https://arxiv.org/pdf/2405.07194
Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/
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