Adapter des modèles de machine learning pour de nouvelles classes
Une méthode pour aider les modèles à prédire des classes invisibles sans avoir à se retaper une grosse formation.
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Table des matières
- Le Défi du Labelling
- Une Solution Simple
- Comprendre la Structure des Classes
- Analyse de Performance
- Utilisation de Modèles préentraînés
- Faire des Prédictions avec Peu de Données
- Apprentissage Actif
- Expériences avec des Données du Monde Réel
- Résultats
- Le Rôle des Métriques
- Impacts de la Calibration
- Applications Plus Larges
- Limitations et Considérations
- Conclusion
- Source originale
- Liens de référence
Les modèles de machine learning sont souvent entraînés sur des ensembles de données qui ne labelisent qu'une petite partie d'une plus grande gamme d'étiquettes. Ça peut rendre difficile la prédiction de quelque chose de nouveau qui n'était pas inclus dans les données d'entraînement originales. Dans cet article, on discute d'une méthode qui aide à adapter ces modèles pour qu'ils puissent prédire de nouvelles classes sans avoir besoin de plus d'entraînement.
Le Défi du Labelling
Beaucoup de modèles de machine learning utilisent de grands espaces d'étiquettes mais ne voient que quelques exemples pendant l'entraînement. À cause de ça, ils peuvent avoir du mal à reconnaître ou prédire des classes qui n'étaient pas représentées dans les données d'entraînement. Les modèles standards ont généralement besoin d'un ajustement fin, ce qui nécessite plus d'exemples étiquetés et de temps pour s'entraîner, mais ce processus peut réduire l'efficacité des capacités initiales du modèle.
Une Solution Simple
On introduit une façon simple d'adapter ces modèles en utilisant les relations entre les classes. En général, chaque étiquette est liée à d'autres par des Métriques, ce qui signifie qu'il y a des infos sur leur similarité ou différence. Notre méthode utilise ces informations pour aider les modèles à faire des prédictions sur des étiquettes invisibles.
En remplaçant l'approche de prédiction habituelle par une nouvelle méthode, on peut rapidement adapter ce que le modèle a appris pour inclure de nouvelles classes potentielles. Ça peut se faire sans avoir à réentraîner tout le modèle, ce qui est un gros avantage.
Comprendre la Structure des Classes
Pour fonctionner efficacement, on regarde de près la structure de l'Espace d'étiquettes. Cette structure peut souvent être modélisée comme un graphique, où les nœuds (points) représentent des étiquettes et les arêtes (connexions) représentent des relations entre ces étiquettes. Le modèle peut apprendre ces relations et les utiliser pour prédire des étiquettes qui n'ont pas été vues auparavant.
Analyse de Performance
On a fait plusieurs tests pour voir à quel point notre méthode fonctionne bien. Dans de nombreux cas, ça a significativement amélioré les prédictions. Par exemple, quand on l'a testé sur de grands ensembles d'images, on a observé une augmentation de performance relative d'environ 29,7 % par rapport aux modèles précédents. Même sans une métrique externe, notre méthode a quand même réussi à améliorer les choses d'environ 10,5 %.
Modèles préentraînés
Utilisation deLes modèles préentraînés sont devenus populaires parce qu'ils peuvent accomplir diverses tâches dès le départ. Cependant, ces modèles font face à des défis lorsque l'espace des étiquettes est vaste et complexe. Notre méthode offre un moyen d'adapter ces modèles préentraînés pour qu'ils puissent gérer de nouvelles classes plus efficacement, sans avoir besoin de données ou d'entraînement supplémentaires.
Faire des Prédictions avec Peu de Données
Un des principaux problèmes en travaillant avec peu de données d'entraînement est de savoir sur quelles classes se concentrer. Notre méthode peut analyser quelles classes forment un ensemble assez riche pour permettre des prédictions pour le reste. Cette compréhension est cruciale quand il s'agit de décider comment utiliser les données disponibles efficacement.
Apprentissage Actif
L'apprentissage actif est une stratégie qui se concentre sur la sélection des classes les plus informatives à observer ensuite. Au lieu de choisir des classes au hasard, le processus choisit activement des classes qui fourniront le plus d'infos, améliorant ainsi la performance globale du modèle. En utilisant cette stratégie, on peut élargir la compréhension du modèle tout en minimisant le nombre d'exemples étiquetés nécessaires.
Expériences avec des Données du Monde Réel
On a testé notre méthode avec divers ensembles de données, y compris de grandes collections d'images et de textes. On a découvert que ça améliorait constamment les prédictions dans les cas où seules quelques classes étaient observées pendant l'entraînement. En choisissant activement quelles classes observer ensuite, les modèles pouvaient mieux saisir l'ensemble de l'espace d'étiquettes.
Résultats
Dans nos expériences, on a remarqué que notre approche avait conduit à une meilleure précision dans les tâches de prédiction. Par exemple, en évaluant sur des ensembles de données comme CIFAR-100 et ImageNet, notre méthode a montré des gains significatifs, prouvant son efficacité dans différents scénarios.
Le Rôle des Métriques
La métrique sous-jacente joue un rôle crucial dans la performance de notre méthode. En utilisant des métriques bien choisies, on peut mieux comprendre les relations entre les classes. Dans les cas où une métrique standard n'est pas disponible, on peut dériver des métriques à partir des embeddings internes des classes. Cette flexibilité permet à notre méthode de s'adapter même dans des situations complexes où les approches traditionnelles pourraient échouer.
Impacts de la Calibration
La calibration est le processus d'ajustement des sorties du modèle pour améliorer la précision. En ajustant les sorties par l'échelle de température, on a pu encore booster la performance du modèle. Cet ajustement aide à aligner les probabilités prédites avec les résultats réels.
Applications Plus Larges
Les principes derrière notre méthode peuvent être appliqués à divers domaines au-delà de la classification d'images. Par exemple, des domaines comme le diagnostic médical, la classification de textes, ou même les systèmes de recommandation peuvent bénéficier de cette approche. Étant donné l'importance croissante du machine learning dans différents secteurs, notre méthode a probablement un potentiel large.
Limitations et Considérations
Bien qu'on ait vu un succès considérable avec notre méthode, il y a encore des défis. La qualité des prédictions peut être influencée par les biais présents dans les modèles préentraînés. De plus, si les métriques ne sont pas soigneusement spécifiées, les prédictions peuvent ne pas être fiables. Donc, une considération attentive est nécessaire lors du déploiement de cette méthode.
Conclusion
Notre approche offre un moyen prometteur d'adapter les modèles préentraînés pour de nouvelles classes en utilisant la structure de l'espace d'étiquettes. En tirant parti des relations entre les classes et en sélectionnant intelligemment quelles classes observer, on peut améliorer la performance des modèles de machine learning sans nécessiter un entraînement additionnel trop intensif. Les résultats positifs de nos expériences suggèrent que cette méthode est un ajout précieux aux outils des praticiens du machine learning.
Titre: Geometry-Aware Adaptation for Pretrained Models
Résumé: Machine learning models -- including prominent zero-shot models -- are often trained on datasets whose labels are only a small proportion of a larger label space. Such spaces are commonly equipped with a metric that relates the labels via distances between them. We propose a simple approach to exploit this information to adapt the trained model to reliably predict new classes -- or, in the case of zero-shot prediction, to improve its performance -- without any additional training. Our technique is a drop-in replacement of the standard prediction rule, swapping argmax with the Fr\'echet mean. We provide a comprehensive theoretical analysis for this approach, studying (i) learning-theoretic results trading off label space diameter, sample complexity, and model dimension, (ii) characterizations of the full range of scenarios in which it is possible to predict any unobserved class, and (iii) an optimal active learning-like next class selection procedure to obtain optimal training classes for when it is not possible to predict the entire range of unobserved classes. Empirically, using easily-available external metrics, our proposed approach, Loki, gains up to 29.7% relative improvement over SimCLR on ImageNet and scales to hundreds of thousands of classes. When no such metric is available, Loki can use self-derived metrics from class embeddings and obtains a 10.5% improvement on pretrained zero-shot models such as CLIP.
Auteurs: Nicholas Roberts, Xintong Li, Dyah Adila, Sonia Cromp, Tzu-Heng Huang, Jitian Zhao, Frederic Sala
Dernière mise à jour: 2023-11-27 00:00:00
Langue: English
Source URL: https://arxiv.org/abs/2307.12226
Source PDF: https://arxiv.org/pdf/2307.12226
Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/
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