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Améliorer l'intégration des graphes de connaissances grâce à l'alignement des entités

Une méthode pour améliorer l'intégration des graphes de connaissances en utilisant l'alignement et la reconnaissance des types d'entités.

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Table des matières

Dans cet article, on va parler d'une méthode pour améliorer l'intégration des graphes de connaissances (KG). Les graphes de connaissances sont de gros systèmes qui organisent les infos d'une façon qui facilite la compréhension des relations entre différentes données. Notre méthode se concentre sur deux tâches principales : aligner les Types d'entités et reconnaître ces types dans les graphes. On va décrire notre configuration expérimentale, les Jeux de données qu'on a utilisés, comment on a sélectionné les caractéristiques, et comment on a entraîné nos modèles. On partagera aussi les résultats de nos évaluations et une analyse de nos découvertes.

Configuration Expérimentale

Sélection des Jeux de Données

Pour tester notre méthode d'alignement des types d'entités, on a utilisé une source importante appelée l'Initiative d'Évaluation de l'Alignement d'Ontologie (OAEI). Cette source nous permet de trouver divers problèmes liés à l'alignement des graphes de connaissances. Notre méthode cherche à étendre un graphe de connaissances de référence en intégrant d'autres graphes candidats. Le graphe de référence a généralement un cadre plus détaillé, qui sert de base à l'expansion. On s'est concentré sur les graphes de connaissances contenant des types d'entités liés à un grand nombre de propriétés.

On a choisi deux jeux de données spécifiques pour nos tests : le jeu de données ontologique bibliographique et le jeu de données track de conférence. Dans l'ontologie bibliographique, on a choisi certaines sections représentant des références bibliographiques réelles du web. On a désigné un alignement comme notre jeu d'entraînement pour notre matcher de type d'entités basé sur l'apprentissage machine, tandis que les autres étaient réservés pour les tests. Le jeu de données track de conférence contient diverses ontologies concernant les organisations de conférences et inclut beaucoup d'Alignements de référence, qu'on a également utilisés pour les tests.

Pour valider la Reconnaissance des types d'entités, on a créé un jeu de données appelé EnType, car il n'existait pas de jeu de données publiquement disponible pour cette tâche. On a utilisé le jeu de données d'infobox de DBpedia comme source de référence, qui fournit des types d'entités généraux. Les entités candidates ont été sélectionnées parmi DBpedia et quelques jeux de données spécifiques, en se concentrant sur des types communs comme Personne, Lieu, Événement et Organisation.

On a fini avec 20 000 paires de types d'entités et d'entités, avec une division de 6 000 venant de DBpedia et 14 000 d'autres sources. Ce jeu de données a été divisé aléatoirement en ensembles d'entraînement et de test pour construire notre modèle d'apprentissage machine.

Sélection des Caractéristiques

Notre méthode utilise une stratégie de classification binaire qui fonctionne peu importe le modèle d'apprentissage machine utilisé. Dans ce contexte, on classe les paires de types d'entités comme positives (correspondantes) ou négatives (non correspondantes). En plus de nos propres Métriques basées sur les propriétés, on a inclus quelques métriques de similarité basées sur les chaînes et le langage pour améliorer la performance de reconnaissance.

On a construit les données avec trois catégories de caractéristiques : métriques basées sur les propriétés, métriques basées sur les chaînes, et métriques de similarité basées sur le langage. Les métriques basées sur les propriétés qu'on a conçues se concentrent spécifiquement sur les propriétés liées aux entités. Les métriques basées sur les chaînes regardent l'orthographe et la structure des étiquettes, tandis que les métriques basées sur le langage prennent en compte les significations sémantiques dérivées des modèles linguistiques.

Stratégie d'Entraînement

En pratique, on rencontre souvent un déséquilibre entre les échantillons positifs et négatifs lors de la sélection des paires pour la classification. Généralement, il y a beaucoup plus d'échantillons négatifs que positifs. Pour contrecarrer cela, on a développé une stratégie d'entraînement qui augmente le poids des échantillons positifs pour créer un jeu de données plus équilibré et réduire le risque de surajustement. On a dupliqué certains échantillons positifs tout en maintenant un ratio d'échantillons positifs à négatifs de 1:10. Cette stratégie n'a pas été appliquée à l'ensemble de test pour garantir son intégrité.

Gestion des Échantillons Trivials

Pour minimiser les échantillons négatifs inutiles, on a filtré les paires triviales qui sont clairement négatives. Pour la tâche d'alignement, on a utilisé des mesures basées sur les étiquettes pour éliminer les non-correspondances évidentes. On a défini un facteur de pré-sélection basé sur diverses métriques similaires. Dans la tâche de reconnaissance, on a identifié les paires comme évidemment négatives si les deux entités ne partageaient aucune propriété.

En faisant cela, on a significativement réduit le nombre d'échantillons à traiter et amélioré l'efficacité de notre entraînement. Ça a aussi aidé à réduire les chances de surajustement en coupant les échantillons redondants et en améliorant finalement la performance d'alignement des KG.

Métriques d'Évaluation

Pour nos expériences, on a utilisé des métriques d'évaluation standard comme la précision, le rappel, et la mesure F. Ces métriques nous aident à mesurer l'efficacité de notre méthode et à la comparer avec d'autres méthodes de pointe. On a formé des paires pour les tâches de reconnaissance, où chaque paire incluait un type d'entité de référence et une entité candidate.

La mesure F, en particulier, combine le rappel et la précision en un seul score, ce qu'on a trouvé être la métrique la plus pertinente pour notre objectif puisqu'elle reflète efficacement les deux aspects.

Alignement Etype

Analyse Qualitative

À travers notre analyse, on a examiné des exemples représentatifs des métriques de similarité entre les paires candidates. Les résultats ont montré que les valeurs obtenues à partir de nos métriques basées sur les propriétés capturaient efficacement le contexte des types d'entités. Des valeurs de similarité plus élevées correspondaient bien à des paires alignées, tandis que les paires non alignées renvoyaient des valeurs inférieures.

Évaluation Quantitative

On a réalisé des comparaisons quantitatives de notre méthode pour l'alignement des types d'entités. On a évalué divers modèles d'apprentissage machine et comparé nos résultats avec ceux des méthodes à la pointe. Dans la plupart des cas, nos méthodes ont surpassé les autres, surtout dans le jeu de données ontologique bibliographique.

Nos découvertes ont indiqué que, bien que certains concurrents aient bien performé en précision, ils traînaient souvent en rappel et en équilibre global. Notre méthode a démontré une forte capacité à maintenir une haute performance à travers divers jeux de données.

Reconnaissance Etype des Entités

Échantillons Représentatifs

Pour montrer à quel point nos métriques de similarité fonctionnaient bien, on a aussi examiné les paires d'entités candidates par rapport à leurs types de référence. Les résultats ont montré que les paires candidates alignées avaient tendance à obtenir des valeurs beaucoup plus élevées que les paires non alignées, affirmant l'efficacité de nos métriques pour reconnaître des entités.

Évaluation Quantitative

En évaluant le reconnaisseur d'entités, on a divisé notre jeu de données en deux sous-ensembles : auto-reconnaissance (où les entités candidates et les types de référence venaient de la même source) et reconnaissance générale (où elles venaient de sources différentes). Nos modèles ont obtenu des résultats exceptionnels dans les deux sous-ensembles, montrant leur efficacité par rapport aux méthodes existantes.

Effet des Résolutions d'Entités Spécifiques

On a été plus loin pour analyser la performance de reconnaissance des entités avec des types plus spécifiques. En se concentrant sur les sous-classes d'entités, on a continué à observer de meilleures performances que les méthodes concurrentes dans chaque cas.

Étude d'Ablation

On a mené des études d'ablation pour évaluer l'efficacité des différents composants dans notre cadre d'extension de KG.

Effet des Métriques de Similarité

Cette étude visait à examiner si chacune de nos métriques de similarité proposées contribuait efficacement aux tâches en cours. On a testé nos modèles principaux contre des groupes contrôlés sans certaines métriques. Les résultats ont confirmé que chaque métrique faisait effectivement une contribution significative tant dans les tâches d'alignement de types d'entités que de reconnaissance.

Effet du Facteur de Contraintes

On a aussi examiné comment les différentes valeurs du facteur de contrainte qu'on a défini plus tôt ont impacté la performance finale de nos tâches de reconnaissance. Les résultats ont mis en avant que certaines valeurs entraînaient systématiquement de meilleures performances à travers les modèles, ce qui nous a amenés à établir une valeur préférée pour les expériences futures.

Conclusion

Notre méthode pour intégrer des graphes de connaissances à travers l'alignement et la reconnaissance de types d'entités a montré un potentiel remarquable. En sélectionnant soigneusement les jeux de données, les caractéristiques, et en appliquant des stratégies d'entraînement efficaces, notre approche a donné des résultats compétitifs par rapport aux méthodes établies. Les évaluations complètes et l'analyse approfondie valident la robustesse de nos métriques proposées et soulignent le potentiel d'une application plus poussée dans les extensions de graphes de connaissances.

Source originale

Titre: KAE: A Property-based Method for Knowledge Graph Alignment and Extension

Résumé: A common solution to the semantic heterogeneity problem is to perform knowledge graph (KG) extension exploiting the information encoded in one or more candidate KGs, where the alignment between the reference KG and candidate KGs is considered the critical procedure. However, existing KG alignment methods mainly rely on entity type (etype) label matching as a prerequisite, which is poorly performing in practice or not applicable in some cases. In this paper, we design a machine learning-based framework for KG extension, including an alternative novel property-based alignment approach that allows aligning etypes on the basis of the properties used to define them. The main intuition is that it is properties that intentionally define the etype, and this definition is independent of the specific label used to name an etype, and of the specific hierarchical schema of KGs. Compared with the state-of-the-art, the experimental results show the validity of the KG alignment approach and the superiority of the proposed KG extension framework, both quantitatively and qualitatively.

Auteurs: Daqian Shi, Xiaoyue Li, Fausto Giunchiglia

Dernière mise à jour: 2024-07-07 00:00:00

Langue: English

Source URL: https://arxiv.org/abs/2407.05320

Source PDF: https://arxiv.org/pdf/2407.05320

Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/

Changements: Ce résumé a été créé avec l'aide de l'IA et peut contenir des inexactitudes. Pour obtenir des informations précises, veuillez vous référer aux documents sources originaux dont les liens figurent ici.

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