Valoriser les données d'entraînement : idées tirées du sondage en contexte
Explorer comment le sondage contextuel et les fonctions d’influence améliorent la sélection de données pour les modèles.
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Table des matières
- Importance de la sélection des données
- Explorer la connexion entre les méthodes
- Cadre théorique pour l'évaluation des données
- Évaluation des données en contexte
- Comprendre les fonctions d'influence
- Analyse théorique des connexions
- Configuration expérimentale
- Résultats et observations
- La relation entre les méthodes
- Conclusions et futures directions
- Éthique et limitations
- Source originale
- Liens de référence
L'évaluation des données, c'est le processus qui consiste à déterminer combien de valeur ont les données d'entraînement. Ça aide surtout dans deux domaines principaux : l'Attribution des données, qui détermine à quel point des données spécifiques contribuent aux prédictions faites par un modèle, et la Sélection des données, qui consiste à choisir les meilleures données pour créer des ensembles de données de haute qualité pour l'entraînement des modèles de langage de grande taille (LLMs). Nos recherches montrent qu'en utilisant une technique appelée sondage contextuel, où on pousse un modèle de langage à répondre, on peut estimer efficacement l'influence des données d'entraînement. Ça peut aider à choisir les meilleures données d'entraînement.
Dans notre travail, on discute pourquoi le sondage contextuel est utile pour évaluer les données. On se concentre sur comment ça se relie aux Fonctions d'influence, qui mesurent l'effet des données d'entraînement sur les prédictions du modèle. Nos résultats suggèrent que les deux méthodes classent les données d'entraînement de manière similaire. On a également découvert que le réglage d'un modèle avec des données sélectionnées par l'une ou l'autre méthode donne des résultats comparables en termes de performance.
Importance de la sélection des données
Des données d'entraînement de haute qualité sont cruciales pour améliorer l'apprentissage des modèles et réduire les coûts liés à l'entraînement. Une approche pour évaluer la qualité des données d'entraînement passe par les fonctions d'influence. Ces fonctions estiment comment l'ajout ou le retrait d'un échantillon d'entraînement affecte les prédictions du modèle. Bien que ces méthodes puissent être coûteuses en termes de calcul, elles sont efficaces pour créer des sous-ensembles de données d'entraînement de haute qualité.
Récemment, les chercheurs ont aussi commencé à utiliser le sondage contextuel pour évaluer la qualité des données d'entraînement. Ça implique de mesurer la probabilité des sorties du modèle en fonction d'un échantillon de données spécifique ou de poser des questions au modèle pour identifier des Échantillons d'entraînement de qualité. Étant donné que les fonctions d'influence et le sondage contextuel peuvent être utilisés pour l'évaluation des données, il est essentiel de comprendre comment ces deux méthodes sont liées.
Explorer la connexion entre les méthodes
Une question clé se pose : Pourquoi les deux méthodes d'attribution de données et le sondage contextuel semblent-elles fonctionner efficacement pour la sélection des données ? Des études récentes suggèrent que l'apprentissage contextuel pourrait effectuer une sorte de descente de gradient de manière implicite, ce qui peut expliquer son efficacité. D'autres théories existent aussi, comme voir l'apprentissage contextuel comme une forme d'inférence bayésienne. Notre article se concentre spécifiquement sur la première théorie pour établir un lien entre le sondage contextuel et les fonctions d'influence.
Cadre théorique pour l'évaluation des données
Dans notre recherche, on formalise des cadres pour l'évaluation des données à travers le sondage contextuel et les fonctions d'influence. On explique comment le sondage contextuel classe la qualité des données d'entraînement en poussant un modèle de langage et comment ces scores corrélent avec les scores des fonctions d'influence.
Évaluation des données en contexte
Différentes études ont exploré l'utilisation des capacités d'apprentissage contextuel des LLMs pour la sélection des données. On se concentre sur une approche qui mesure la qualité d'un échantillon d'entraînement par une méthode de notation spécifique. Chaque tâche dans nos données consiste en une requête et une réponse. On établit un score pour chaque tâche en fonction de la manière dont l'échantillon d'entraînement améliore la probabilité que le modèle fournisse la bonne réponse.
Ce score reflète la contribution de l'échantillon d'entraînement à l'inférence en une seule étape, ce qui nous permet de l'utiliser pour prendre des décisions de sélection des données.
Comprendre les fonctions d'influence
Les fonctions d'influence évaluent comment les changements dans les prédictions du modèle se produisent lorsque des échantillons sont ajoutés ou retirés des données d'entraînement. Elles donnent un aperçu de l'importance de chaque échantillon d'entraînement. Cependant, ces calculs peuvent être complexes et instables, surtout dans les grands modèles de deep learning. Pour simplifier, on peut utiliser des approximations de premier ordre qui se concentrent sur les parties critiques des fonctions d'influence.
Analyse théorique des connexions
Au vu de ce qu'on sait, on démontre comment le sondage contextuel peut servir d'approximation de la fonction d'influence. On analyse comment les deux méthodes se rapportent aux étapes de descente de gradient prises pendant l'entraînement, en soulignant que leurs processus partagent des similarités.
Configuration expérimentale
Pour valider davantage nos affirmations théoriques, on a effectué des expériences comparant le sondage contextuel et les fonctions d'influence comme méthodes d'évaluation des données. On a utilisé différents échantillons de données d'entraînement classés par les deux méthodes et ajusté un modèle en utilisant ces classements, évaluant ainsi comment ils ont performé.
Ensembles de données
On a utilisé un ensemble de données spécifique contenant 52 000 instructions pour ajuster le modèle. On l'a associé à un autre ensemble de données conçu pour calculer l'influence des instructions sélectionnées.
Sélection des données
On a calculé le score pour chaque échantillon d'entraînement dans notre ensemble de données principal et on a moyenné ces scores pour en tirer des scores de qualité finaux. On a classé ces scores en intervalles pour faciliter la comparaison.
Entraînement du modèle
On a ajusté notre modèle en utilisant une méthode d'optimisation, en maintenant la taille du lot et le taux d'apprentissage à des niveaux spécifiques. On a répété cela séparément pour chaque méthode de notation, ce qui nous a permis de suivre les changements de performance.
Métriques d'évaluation
On a évalué la performance du modèle sur un ensemble de données d'évaluation séparé. Cela impliquait de mesurer à quelle fréquence les réponses du modèle étaient préférées par rapport à une réponse de modèle de référence.
Résultats et observations
Nos résultats révèlent une forte corrélation entre les classements produits par le sondage contextuel et ceux générés par les fonctions d'influence. Lorsque nous avons ajusté le modèle en utilisant des données sélectionnées par l'une ou l'autre méthode, les deux ont produit des niveaux de performance similaires.
Notamment, il y a eu des moments où l'ajustement avec des données provenant du sondage contextuel montrait des résultats légèrement meilleurs. Cependant, dans l'ensemble, les deux méthodes ont montré un haut niveau d'accord dans l'identification des instructions de qualité pour l'entraînement.
La relation entre les méthodes
Bien que les deux méthodes soient d'accord sur les échantillons d'entraînement qui sont précieux, cela soulève la question de savoir si chaque méthode identifie indépendamment des échantillons d'entraînement de haute qualité ou si elles sont connectées à travers nos cadres théoriques. Pour explorer cela, on a mené des expériences supplémentaires pour vérifier les étapes de notre analyse théorique.
Comparaison du sondage contextuel au fine-tuning
Pour comprendre la relation entre les scores de sondage contextuel et les performances réelles de fine-tuning, on a utilisé une configuration où on a ajusté chaque échantillon d'entraînement individuellement. Nos observations ont indiqué une corrélation significative, soutenant la pertinence de nos hypothèses théoriques.
Comparaison du fine-tuning en une étape aux fonctions d'influence
On a aussi étudié comment les scores de fine-tuning en une étape se rapportaient à ceux dérivés des fonctions de pression. Nos résultats ont confirmé de bonnes corrélations, renforçant les liens entre le sondage contextuel, le fine-tuning en une étape et les fonctions d'influence.
Conclusions et futures directions
Notre travail établit des connexions tant théoriques qu'empiriques entre le sondage contextuel et les fonctions d'influence pour l'évaluation des données. On met en avant plusieurs pistes pour de futures recherches, y compris comprendre comment ces méthodes fonctionnent dans différents scénarios d'entraînement et pour divers types de tâches. Cette compréhension pourrait mener à de meilleures stratégies de sélection des données qui améliorent la performance des modèles dans diverses applications.
Éthique et limitations
Bien que notre focus soit sur l'évaluation des données dans les modèles de langage, on note des limitations dans nos expériences, qui ont été conduites uniquement sur un seul modèle. Des variations de taille de modèle et de type de tâche pourraient influencer l'efficacité des méthodes de sélection des données. De plus, les considérations éthiques concernant les biais des modèles de langage sont importantes à reconnaître et méritent une enquête plus approfondie.
En résumé, on pense que nos résultats contribuent à une meilleure compréhension de l'évaluation des données dans les modèles de langage et espérons que ce travail guide les futurs efforts de recherche dans ce domaine.
Titre: In-Context Probing Approximates Influence Function for Data Valuation
Résumé: Data valuation quantifies the value of training data, and is used for data attribution (i.e., determining the contribution of training data towards model predictions), and data selection; both of which are important for curating high-quality datasets to train large language models. In our paper, we show that data valuation through in-context probing (i.e., prompting a LLM) approximates influence functions for selecting training data. We provide a theoretical sketch on this connection based on transformer models performing "implicit" gradient descent on its in-context inputs. Our empirical findings show that in-context probing and gradient-based influence frameworks are similar in how they rank training data. Furthermore, fine-tuning experiments on data selected by either method reveal similar model performance.
Auteurs: Cathy Jiao, Gary Gao, Chenyan Xiong
Dernière mise à jour: 2024-07-16 00:00:00
Langue: English
Source URL: https://arxiv.org/abs/2407.12259
Source PDF: https://arxiv.org/pdf/2407.12259
Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/
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