Défis de la modélisation prédictive dans des contextes changeants
S'attaquer aux facteurs perturbateurs et aux changements dans les données pour de meilleures prédictions.
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Table des matières
Dans plein de situations réelles, on crée des modèles pour prédire des résultats en se basant sur des données collectées dans un certain cadre, mais après on doit utiliser ces modèles dans un autre cadre où les données se comportent différemment. Ça peut poser des problèmes pour la précision de nos prédictions. Un point clé, c'est que certains facteurs importants, qu'on peut pas observer, peuvent influencer les résultats qu'on voit. Ce problème s'appelle le confondant.
Le Problème du Confondant
Quand on essaie de comprendre la relation entre différentes variables, des facteurs Confondants peuvent déformer notre vision. Par exemple, imagine qu'on essaie de prédire combien une personne va aimer un certain plat en fonction de ses ingrédients. Mais si les expériences précédentes de la personne avec des plats similaires, ses restrictions alimentaires ou son humeur au moment de la dégustation ne sont pas mesurées, ces facteurs non observés peuvent affecter le résultat.
Dans beaucoup de cas, quand on collecte des données, on le fait d'une manière qui ne prend pas en compte ces influences cachées. Du coup, si on applique le modèle créé à partir de ces données dans un nouveau contexte, on peut se rendre compte qu'il ne fonctionne pas bien. C'est parce que les relations sous-jacentes qui ont informé notre modèle initial ont changé.
Changement de concept et Changement de Covariables
Quand l'environnement change, on peut faire face à deux types principaux de changements : le changement de concept et le changement de covariables. Le changement de concept se produit quand la relation entre l'entrée (comme les ingrédients d'un plat) et la sortie (combien quelqu'un aime ça) change dans le nouveau cadre. Le changement de covariables arrive quand les variables d'entrée changent, mais la relation elle-même reste la même.
Ces changements compliquent le processus de prédiction. Si un modèle fonctionnait bien dans un cadre, il peut ne pas bien performer dans un autre si ces changements ne sont pas pris en compte. Les praticiens doivent être conscients de ces changements potentiels et être prêts à adapter leurs modèles.
Adaptation
Le Besoin d’Étant donné les défis posés par les facteurs confondants et les changements de données, il est essentiel de développer des méthodes qui peuvent adapter nos modèles à ces nouvelles conditions. Ce besoin d’adaptation nous pousse à explorer comment on peut utiliser des données d'un environnement (la source) pour faire des prédictions dans un autre environnement (la cible) où on peut pas avoir de données étiquetées.
Une situation courante où on se retrouve, c'est d'avoir des données étiquetées (où on connaît les résultats) pour un cadre mais juste des données non étiquetées (sans les résultats) pour un autre cadre. L'objectif devient comment prédire de manière fiable les résultats pour ce nouvel environnement non étiqueté en utilisant notre modèle appris de la source.
Une Approche Causale
Pour aborder le problème de confondant non observé et de distributions changeantes, un moyen efficace est d'utiliser un cadre causal. En établissant un modèle causal structurel, on peut commencer à comprendre les relations entre les variables observées et non observées.
Dans ce modèle, on identifie les mécanismes sous-jacents qui génèrent les données observées. En faisant ça, on peut créer des représentations des données qui se concentrent sur les aspects invariants – des caractéristiques qui restent stables même quand le contexte change. Ça nous aide à minimiser les effets des variables confondantes et des changements de distribution.
Apprendre des Représentations
Une approche pratique implique d'apprendre une représentation des données d'entrée qui capture des informations importantes tout en minimisant l'influence des facteurs confondants et en assurant la stabilité. Ça implique de réduire la dimensionnalité des données, c'est-à-dire qu'on se concentre sur un plus petit nombre de dimensions qui contiennent l'information la plus pertinente.
En optimisant pour une représentation de plus basse dimension, on peut créer un modèle qui est plus résilient face aux changements dans les données. Cet espace de plus basse dimension peut être perçu comme fournissant une image plus claire des relations essentielles dans les données.
Optimisation
Le Rôle de l’Atteindre cette représentation de plus basse dimension nécessite un processus d'optimisation sophistiqué. Ce processus vise à trouver un équilibre entre stabilité et prévisibilité. La stabilité fait référence à à quel point notre modèle performe de manière cohérente à travers différents environnements, tandis que la prévisibilité fait référence à à quel point il peut faire des prédictions précises.
Pour naviguer efficacement dans le paysage d'optimisation, on peut utiliser des techniques comme la descente de gradient projetée, qui nous permettent de trouver des optima locaux. Ces optima nous aident à identifier des représentations qui résistent efficacement aux influences des facteurs confondants et des changements de distribution.
Validation Empirique
Pour démontrer l'efficacité de notre méthode, on peut tester sur divers ensembles de données réelles, comme celles liées à des facteurs environnementaux ou à des comportements de consommateurs. En appliquant notre approche à ces ensembles de données, on peut observer comment elle s'adapte aux changements de distribution.
Par exemple, considérons un ensemble de données sur les incendies de forêt où l'objectif est de prédire la zone affectée en fonction des facteurs météorologiques. En utilisant des données de différentes saisons, on peut évaluer à quel point notre approche aide à faire des prédictions malgré les changements dans les conditions sous-jacentes.
Stabilité vs. Prédictivité
Un aspect important à considérer dans notre méthodologie est le compromis entre stabilité et prédictivité. Alors qu'on veut que notre modèle fasse des prédictions précises, on a aussi besoin qu'il reste stable à travers différents cadres. Ce compromis est crucial et nécessite un réglage minutieux des paramètres du modèle.
Lorsqu'on modélise, on peut segmenter les composants de notre fonction objective. Ça nous aide à distinguer clairement entre les aspects qui mènent à de meilleures prédictions et ceux qui contribuent à la stabilité. En faisant cela, on peut affiner notre modèle systématiquement pour atteindre l'équilibre souhaité.
Conclusion
Travailler avec des données d'observation présente des défis uniques, surtout quand des facteurs confondants et des changements de données surviennent. En cadrant notre approche dans un contexte causal, on peut développer des stratégies pour adapter nos modèles efficacement. Grâce à l'apprentissage de représentations et à une optimisation soigneuse, on peut améliorer à la fois la stabilité et la prédictivité.
En avançant, il y a plusieurs pistes à explorer. Celles-ci incluent l'extension de nos méthodes à des modèles non linéaires et l'exploration de différentes dimensions de la stabilité distributionnelle. Au fur et à mesure qu'on affine nos techniques, on peut mieux équiper les praticiens pour naviguer dans les complexités des données réelles et améliorer leurs modèles prédictifs.
Titre: Learning When the Concept Shifts: Confounding, Invariance, and Dimension Reduction
Résumé: Practitioners often deploy a learned prediction model in a new environment where the joint distribution of covariate and response has shifted. In observational data, the distribution shift is often driven by unobserved confounding factors lurking in the environment, with the underlying mechanism unknown. Confounding can obfuscate the definition of the best prediction model (concept shift) and shift covariates to domains yet unseen (covariate shift). Therefore, a model maximizing prediction accuracy in the source environment could suffer a significant accuracy drop in the target environment. This motivates us to study the domain adaptation problem with observational data: given labeled covariate and response pairs from a source environment, and unlabeled covariates from a target environment, how can one predict the missing target response reliably? We root the adaptation problem in a linear structural causal model to address endogeneity and unobserved confounding. We study the necessity and benefit of leveraging exogenous, invariant covariate representations to cure concept shifts and improve target prediction. This further motivates a new representation learning method for adaptation that optimizes for a lower-dimensional linear subspace and, subsequently, a prediction model confined to that subspace. The procedure operates on a non-convex objective-that naturally interpolates between predictability and stability/invariance-constrained on the Stiefel manifold. We study the optimization landscape and prove that, when the regularization is sufficient, nearly all local optima align with an invariant linear subspace resilient to both concept and covariate shift. In terms of predictability, we show a model that uses the learned lower-dimensional subspace can incur a nearly ideal gap between target and source risk. Three real-world data sets are investigated to validate our method and theory.
Auteurs: Kulunu Dharmakeerthi, YoonHaeng Hur, Tengyuan Liang
Dernière mise à jour: 2024-06-22 00:00:00
Langue: English
Source URL: https://arxiv.org/abs/2406.15904
Source PDF: https://arxiv.org/pdf/2406.15904
Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/
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