Simple Science

La science de pointe expliquée simplement

# Génie électrique et science des systèmes # Son # Intelligence artificielle # Vision par ordinateur et reconnaissance des formes # Apprentissage automatique # Traitement de l'audio et de la parole

Améliorer la classification musicale avec des métriques perceptuelles

Cet article explore le rôle des métriques perceptuelles dans la classification des genres musicaux.

Tashi Namgyal, Alexander Hepburn, Raul Santos-Rodriguez, Valero Laparra, Jesus Malo

― 6 min lire


Rénover les techniques de Rénover les techniques de classification musicale les genres musicaux. façon dont les machines catégorisent De nouvelles métriques améliorent la
Table des matières

La musique fait partie intégrante de nos vies, et comprendre les différents types de musique, ou genres, peut être compliqué. Les chercheurs cherchent des moyens d'améliorer la façon dont les machines reconnaissent et classifient la musique en utilisant des méthodes appelées Métriques perceptuelles. Ces métriques aident les machines à mieux se connecter à la manière dont les humains perçoivent le son et la qualité de la musique.

Qu'est-ce que les métriques perceptuelles ?

Les métriques perceptuelles sont des outils conçus pour évaluer la qualité audio en fonction de la façon dont les gens entendent et réagissent au son. Elles prennent en compte diverses caractéristiques de la musique et du son qui comptent pour les auditeurs, comme le ton, les variations de volume et le rythme. En utilisant ces métriques, les chercheurs peuvent créer des modèles qui écoutent de la musique et la classifient plus précisément selon son genre.

L'importance de la qualité dans les modèles musicaux

Avec l'avancée de la technologie, les machines qui génèrent ou analysent de la musique deviennent de plus en plus courantes. Quand ces machines font des erreurs ou produisent des sons bizarres, c'est frustrant pour les utilisateurs. Donc, il est crucial d'évaluer la performance de ces machines. Traditionnellement, ça se fait en demandant aux gens d'écouter la musique et de donner leur avis, mais récolter des retours prend du temps et coûte cher. Pour y remédier, les chercheurs travaillent sur des métriques objectives qui peuvent évaluer la qualité de la musique d'une manière qui s'aligne de près avec les opinions humaines.

Comment fonctionnent les métriques perceptuelles

Les méthodes courantes pour évaluer les modèles audio, comme l'Erreur Quadratique Moyenne, ne correspondent souvent pas bien à la perception de la qualité par les gens. Au lieu de cela, les métriques perceptuelles peuvent être conçues pour mieux correspondre aux opinions humaines. Par exemple, les chercheurs ont emprunté des idées du domaine du traitement d'images. La Similarité Structurale (SSIM) et la Distance de la Pyramide Laplacienne Normalisée (NLPD) sont deux métriques utilisées pour les images qui peuvent aussi être adaptées pour des spectrogrammes audio, qui représentent le son visuellement.

Comparaison des différentes métriques

Pour voir comment ces métriques perceptuelles peuvent bénéficier à la classification musicale, les chercheurs ont testé leur performance par rapport aux méthodes traditionnelles. Ils se sont concentrés sur un dataset populaire de musique appelé GTZAN, qui contient des échantillons de dix genres différents. L'objectif était de déterminer à quel point diverses métriques pouvaient aider les machines à regrouper et classifier des morceaux de musique.

Évaluation des genres musicaux

Dans les expériences, les chercheurs ont comparé l'efficacité des métriques perceptuelles comme MS-SSIM et NLPD par rapport à l'erreur quadratique moyenne. Ils ont calculé à quel point les chansons étaient similaires ou différentes les unes des autres en utilisant ces métriques et ont exploré comment elles affectaient le clustering, qui consiste à former des groupes d'éléments similaires.

Les résultats ont montré que chaque métrique créait différentes distributions de similarités. Cela signifie que certaines métriques dispersaient les valeurs, rendant plus difficile pour la machine de grouper correctement les chansons, tandis que d'autres gardaient des regroupements plus compacts. Un équilibre est nécessaire pour s'assurer que les chansons proches ne soient pas négligées.

Le rôle des Autoencodeurs

Les autoencodeurs sont des types de modèles spéciaux conçus pour représenter les données de manière efficace. Dans cette étude, les chercheurs ont retrainé les autoencodeurs pour créer des versions compressées des fichiers audio. L'objectif était de voir si les caractéristiques apprises à partir des métriques perceptuelles pouvaient améliorer la classification des genres. Les caractéristiques compressées ont été alimentées dans des classificateurs pour tester comment bien les modèles catégorisaient les genres.

Performance des différents modèles

La performance des modèles variait selon les métriques utilisées. Le classificateur K-Nearest Neighbours, qui repose sur le calcul des distances entre des échantillons de chansons, a révélé que bien que l'erreur quadratique moyenne ait bien fonctionné, les métriques perceptuelles n'ont pas apporté les améliorations attendues.

En utilisant les caractéristiques d'autoencodeur dans un modèle différent basé sur la régression logistique, les résultats ont montré que les métriques perceptuelles fournissaient une classification plus équilibrée à travers la plupart des genres. Le genre classique avait un son plus distinct qui était plus facile à classifier, tandis que les autres genres profitaient de l'approche perceptuelle.

Défis avec les métriques perceptuelles

Bien que les métriques perceptuelles présentent des promesses, elles ne sont pas sans défis. Les métriques pourraient manquer d'informations importantes lorsque les échantillons diffèrent considérablement, car elles ont tendance à se concentrer sur la suppression de la redondance. Cela peut réduire la capacité à distinguer les chansons qui partagent des caractéristiques similaires.

Les chercheurs ont également noté que bien que ces méthodes aient parfois surpassé les objectifs de formation traditionnels, les résultats restaient en deçà des techniques de pointe. Certaines études précédentes ont atteint des taux de précision élevés, mais la validité de ces revendications a été remise en question en raison de problèmes avec les ensembles de données utilisés.

Conclusion

En résumé, les métriques perceptuelles offrent une nouvelle approche pour améliorer la manière dont les machines apprennent et classifient les genres musicaux. Elles reflètent de manière plus précise la façon dont les humains perçoivent le son, ce qui peut conduire à de meilleurs résultats dans les tâches de compréhension musicale. Les travaux futurs se concentreront sur le perfectionnement de ces métriques et l'exploration de leur potentiel pour former des modèles d'analyse musicale, réduisant potentiellement le besoin de vastes ensembles de données.

L'application des métriques perceptuelles dans la classification musicale révèle une voie prometteuse pour améliorer les méthodes d'apprentissage machine dans le domaine de l'audio. Au fur et à mesure que la recherche avance, on peut s'attendre à voir des progrès qui s'alignent mieux avec les perceptions humaines de la musique, enrichissant nos interactions avec la technologie.

Source originale

Titre: The Effect of Perceptual Metrics on Music Representation Learning for Genre Classification

Résumé: The subjective quality of natural signals can be approximated with objective perceptual metrics. Designed to approximate the perceptual behaviour of human observers, perceptual metrics often reflect structures found in natural signals and neurological pathways. Models trained with perceptual metrics as loss functions can capture perceptually meaningful features from the structures held within these metrics. We demonstrate that using features extracted from autoencoders trained with perceptual losses can improve performance on music understanding tasks, i.e. genre classification, over using these metrics directly as distances when learning a classifier. This result suggests improved generalisation to novel signals when using perceptual metrics as loss functions for representation learning.

Auteurs: Tashi Namgyal, Alexander Hepburn, Raul Santos-Rodriguez, Valero Laparra, Jesus Malo

Dernière mise à jour: 2024-09-25 00:00:00

Langue: English

Source URL: https://arxiv.org/abs/2409.17069

Source PDF: https://arxiv.org/pdf/2409.17069

Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/

Changements: Ce résumé a été créé avec l'aide de l'IA et peut contenir des inexactitudes. Pour obtenir des informations précises, veuillez vous référer aux documents sources originaux dont les liens figurent ici.

Merci à arxiv pour l'utilisation de son interopérabilité en libre accès.

Plus d'auteurs

Vision par ordinateur et reconnaissance des formes Améliorer la vision par ordinateur avec des insights humains

Une nouvelle façon d'améliorer la compréhension d'image par les machines inspirée de la vision humaine.

Jorge Vila-Tomás, Pablo Hernández-Cámara, Valero Laparra

― 6 min lire

Articles similaires