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# Informatique # Calcul et langage

S'attaquer aux hallucinations dans les modèles de langage

De nouvelles méthodes améliorent la précision des grands modèles de langage.

Fujie Zhang, Peiqi Yu, Biao Yi, Baolei Zhang, Tong Li, Zheli Liu

― 7 min lire


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Les grands Modèles de langage (LLMs) sont comme des robots super malins qui peuvent écrire des histoires, répondre à des questions, et même discuter avec toi. Mais le hic, c'est qu'ils peuvent dire des trucs qui ont l'air bien mais qui sont complètement faux. Ce problème s'appelle "hallucination". Imagine demander à ton pote l'heure et qu'il te réponde avec une recette de spaghetti. Utile ? Pas vraiment.

C’est quoi le délire avec les Hallucinations ?

Les hallucinations dans les LLMs se produisent quand ils génèrent du texte qui semble logique mais qui est factuellement incorrect. Pense à ton ami qui déclare fièrement que les licornes existent, même si vous savez tous les deux qu'ils viennent juste de sortir d'une convention de fantasy.

Si les gens croient ce que disent ces modèles, ils pourraient finir par avoir des idées vraiment bizarres. Donc, c’est super important de repérer ces hallucinations et de rétablir la vérité avant que quelqu'un ne soit trop perdu.

Pourquoi détecter les hallucinations, c'est important

Imagine que tu écrives un papier et que tu décides d'utiliser une citation d'un LLM. Si le modèle a juste inventé la citation, ton papier risque de ressembler à quelque chose écrit par quelqu'un qui vient de tomber de sa licorne. Repérer ces Erreurs aide à éviter de répandre des fausses infos.

En détectant ces erreurs, les utilisateurs peuvent vérifier le contenu et éventuellement demander au modèle d’essayer encore. C’est comme demander à un ami d'expliquer sa réponse quand tu ne comprends vraiment pas.

Méthodes actuelles de Détection

Il y a plusieurs moyens de détecter quand les LLMs ont ces hallucinations. Une méthode consiste à vérifier à quel point le modèle est sûr de ce qu'il dit. S'il n'est pas trop sûr, ça pourrait être un signe qu'il va te balancer des spaghetti au lieu de te donner l'heure.

Certains chercheurs ont même essayé d'apprendre aux modèles à repérer leurs propres erreurs en fonction des motifs dans leur fonctionnement interne. C'est comme donner à ton pote une feuille de triche pour qu'il puisse repérer ses propres erreurs avant de les partager avec le groupe.

Le défi de la généralisation

Voilà le truc : les modèles entraînés pour attraper les hallucinations sur un sujet (comme les chats) pourraient ne pas savoir quoi faire avec d'autres sujets (comme les villes). Pense à quelqu'un qui est génial dans les quiz sur les films mais qui ne connaît rien à la géographie.

Beaucoup de chercheurs ont essayé de mélanger les sujets ou de préciser les détails pour obtenir de meilleurs résultats. Mais rassembler toutes ces données peut être compliqué, comme essayer de faire en sorte que tout le monde dans ton groupe d'amis soit d'accord sur un resto.

Une nouvelle idée : PRISM

Pour s'attaquer à ces problèmes de généralisation, on a inventé un truc appelé PRISM. Non, ce n'est pas un gadget de fou ; ça signifie "État interne guidé par les invites pour la détection des hallucinations". Plutôt stylé, non ?

L'idée est simple : on veut utiliser certaines invites pour aider le modèle à se concentrer sur la véracité de ce qu'il génère. En faisant ça, on peut faire en sorte que le fonctionnement interne du modèle fasse plus attention à ce qui est vrai ou pas.

Comment fonctionne PRISM

La magie opère quand on crée des invites spécifiques qui poussent le modèle à réfléchir un peu plus sur la véracité de ses réponses. C'est un peu comme murmurer à son oreille : "Hé, c’est vraiment vrai ?"

Quand on donne au modèle un mélange de ces invites et du texte qu'il génère, on peut obtenir de meilleurs résultats. C'est comme lui filer une deuxième paire de lunettes pour lire l'info plus clairement.

Tester PRISM

Pour voir à quel point PRISM fonctionne, on a fait quelques tests avec différents jeux de données-l'un étant le jeu de données Vrai-Faux. Ce jeu de données comprend une variété d'énoncés, certains vrais et d'autres faux, juste pour mélanger un peu.

On a aussi regardé un deuxième jeu de données appelé LogicStruct qui utilise différentes structures grammaticales pour défier encore plus les modèles. En balançant une variété d’énoncés, on peut mieux jauger l’efficacité de PRISM.

Résultats des expériences

Quand on a testé le modèle avec notre nouvelle approche, les résultats étaient plutôt fantastiques. Comparé à d'autres méthodes de détection, l'utilisation de PRISM a conduit à de meilleurs taux de détection sur différents sujets. C’est comme avoir une baguette magique qui aide les modèles à distinguer entre des licornes et de vrais chevaux.

Avec les nouvelles invites, on a trouvé que les modèles devenaient effectivement meilleurs pour repérer leurs propres erreurs. Ce n'était pas juste un coup de chance ; les améliorations étaient constantes à travers différents tests.

Pourquoi tout ça compte

Alors, pourquoi on devrait s'en soucier ? Eh bien, les LLMs ont le potentiel de changer notre façon d'interagir avec les ordinateurs et l'information. Si on peut les rendre meilleurs pour comprendre ce qui est vrai et ce qui ne l’est pas, ils peuvent devenir plus fiables.

Avec de meilleures méthodes de détection, on peut s'assurer que l'info qu'on reçoit n'est pas juste une devinette ou une hallucination. Dans un monde où la désinformation peut se répandre comme un feu de forêt, avoir des outils précis est crucial.

À l'horizon

Bien que PRISM ait montré de grandes promesses, il reste du boulot à faire. Un problème qu'on a remarqué, c'est que toutes les invites ne fonctionnent pas de manière égale. C'est comme essayer de trouver quel épice rend un plat délicieux-certaines seront un succès, tandis que d'autres pourraient ruiner le repas.

De plus, si les LLMs pouvaient utiliser d'autres formes de données, comme les probabilités de tokens, ça pourrait mener à encore meilleurs résultats. C'est comme si nos modèles passaient à côté de quelques pépites cachées qui pourraient améliorer leurs performances.

Considérations éthiques

Quand il s'agit d'utiliser la technologie, il faut faire attention. On veut s'assurer que les LLMs sont au service du bien, pas de la confusion. L'objectif ici est de créer des systèmes qui aident les gens, pas qui les induisent en erreur.

Un autre point à considérer, c'est que les modèles peuvent parfois hériter de biais des données sur lesquelles ils ont été entraînés. On doit s'assurer que nos modèles sont justes et fiables pour prévenir toute déclaration trompeuse.

Conclusion

En conclusion, les LLMs sont des outils incroyables qui peuvent faire plein de choses, mais il faut être prudent avec ce qu'ils produisent. En utilisant des méthodes novatrices comme PRISM, on peut améliorer la façon dont ces modèles détectent leurs propres hallucinations. Cela jouera un grand rôle dans notre interaction avec la technologie et l'information qu'elle fournit.

En continuant à peaufiner ces techniques, l'espoir est de favoriser un environnement où la technologie nous aide à apprendre et à grandir sans se soucier de se perdre dans un océan de désinformation.

Voici à un futur où nos LLMs de quartier gardent leurs faits droits, et où on n'a jamais à se demander si des licornes errent sur Terre !

Source originale

Titre: Prompt-Guided Internal States for Hallucination Detection of Large Language Models

Résumé: Large Language Models (LLMs) have demonstrated remarkable capabilities across a variety of tasks in different domains. However, they sometimes generate responses that are logically coherent but factually incorrect or misleading, which is known as LLM hallucinations. Data-driven supervised methods train hallucination detectors by leveraging the internal states of LLMs, but detectors trained on specific domains often struggle to generalize well to other domains. In this paper, we aim to enhance the cross-domain performance of supervised detectors with only in-domain data. We propose a novel framework, prompt-guided internal states for hallucination detection of LLMs, namely PRISM. By utilizing appropriate prompts to guide changes in the structure related to text truthfulness within the LLM's internal states, we make this structure more salient and consistent across texts from different domains. We integrated our framework with existing hallucination detection methods and conducted experiments on datasets from different domains. The experimental results indicate that our framework significantly enhances the cross-domain generalization of existing hallucination detection methods.

Auteurs: Fujie Zhang, Peiqi Yu, Biao Yi, Baolei Zhang, Tong Li, Zheli Liu

Dernière mise à jour: 2024-11-07 00:00:00

Langue: English

Source URL: https://arxiv.org/abs/2411.04847

Source PDF: https://arxiv.org/pdf/2411.04847

Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/

Changements: Ce résumé a été créé avec l'aide de l'IA et peut contenir des inexactitudes. Pour obtenir des informations précises, veuillez vous référer aux documents sources originaux dont les liens figurent ici.

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