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Améliorer les grands modèles multimodaux : une nouvelle perspective

Une nouvelle méthode améliore la compréhension et la confiance dans les modèles multimodaux.

Anirudh Phukan, Divyansh, Harshit Kumar Morj, Vaishnavi, Apoorv Saxena, Koustava Goswami

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Les grands modèles multimodaux (LMM) sont des outils qui aident les ordinateurs à comprendre à la fois les images et le texte ensemble. Pense à eux comme un mélange de cerveaux : une partie est douée avec les mots (le modèle de langage large ou LLM), et l'autre partie est géniale avec les images (comme une caméra). Cette combinaison permet aux machines de répondre à des questions sur des images d'une manière plus facile à comprendre pour nous.

Cependant, ces modèles imaginent souvent des choses qui ne sont pas là, ce qu'on appelle des Hallucinations. C'est comme quand tu penses voir un délicieux gâteau dans le frigo, mais c'est juste une boîte vide. Alors que les scientifiques essaient de trouver des moyens de corriger ces hallucinations, beaucoup de méthodes nécessitent beaucoup de temps et d'entraînement supplémentaire. Heureusement, des idées récentes examinent comment les modèles fonctionnent à l'intérieur, plutôt que d'avoir besoin d'aide extérieure.

Hallucination, quoi ?

Alors, c'est quoi ces hallucinations ? Imagine : tu regardes une photo d'un chien. Si le modèle dit avec certitude : "C'est un chat rouge !" alors qu'on sait tous la vérité, c'est un problème ! Ce n'est pas juste faux ; ça peut devenir assez embarrassant. Pour instaurer la confiance, il est super important de montrer des preuves de ce que le modèle affirme.

Normalement, corriger ces hallucinations signifie soit recommencer à zéro, soit utiliser d'autres modèles pour aider. Ces deux options peuvent devenir chères et lentes, ce qui n'est pas idéal pour les gens occupés. Récemment, des chercheurs ont découvert que l'utilisation de certaines parties des modèles eux-mêmes pourrait aboutir à de meilleures réponses sans coûts supplémentaires.

L'ancienne méthode : Logit Lens

Une des méthodes traditionnelles pour vérifier les hallucinations s'appelle le logit lens. C'est comme regarder à travers un trou de serrure pour voir ce qui se passe. Cependant, cette méthode a quelques angles morts. Elle a tendance à ne chercher que certains mots et manque le tableau d'ensemble, surtout quand il s'agit de comprendre des scénarios complexes. Par exemple, si un modèle dit "la balle est bleue", mais ne vérifie pas si c'est la bonne balle ou juste un truc bleu au hasard, il peut se perdre.

Une nouvelle approche : Contextual Embeddings

On a trouvé une nouvelle idée qui utilise plus de détails sur ce qui se passe à divers niveaux du modèle. Au lieu de vérifier juste si un mot apparaît quelque part, on regarde plus profondément dans ce que le modèle pense. De cette façon, on peut mieux comprendre ce qui est dit et si ça a du sens dans le contexte de l'image.

En utilisant ces contextual embeddings sophistiqués, on peut détecter des hallucinations qui étaient auparavant manquées. C'est comme passer d'une simple lampe de poche à un appareil de vision nocturne high-tech. Maintenant, on peut voir ce qui est vraiment là !

Comment on fait

Pour savoir si une hallucination se produit, on prend les mots que le modèle génère et on voit comment ils correspondent à différentes parties des images. Notre méthode implique trois étapes clés :

  1. Attraper les fichiers de mots : On regarde les mots générés par le modèle.
  2. Mesurer la similarité : On passe en revue toutes les parties de l'image, vérifiant à quel point elles se connectent bien avec les mots. Si on trouve un maillon faible, on sait qu'il y a un problème.
  3. Comprendre le grounding : Pour chaque section de l'image, on dessine une petite boîte autour de la partie à laquelle on pense que la réponse fait référence.

Cette méthode fonctionne comme avoir un ami qui s'y connaît et peut te montrer où tout est dans une pièce en désordre, au lieu de simplement deviner.

Le Grand Tableau : Tout Mettre Ensemble

Quand on fait des tests, on découvre que notre nouvelle méthode surpasse l'ancienne logit lens. C'est comme se balader avec Google Maps au lieu d'utiliser une vieille carte en papier à moitié déchirée. Notre nouvelle méthode est meilleure pour attraper quand le modèle est à côté de la plaque, surtout pour des questions délicates sur les relations, les attributs ou les comparaisons.

Par exemple, si quelqu'un demande : "De quelle couleur est la voiture à côté de l'arbre ?" au lieu de juste vérifier "voiture" et "couleur", notre méthode regarde aussi où se trouve la voiture par rapport à l'arbre et fait le lien avec la réponse.

Réponse à des questions visuelles ancrées

Notre nouvelle méthode n'est pas seulement pour repérer des hallucinations ; elle aide aussi dans la réponse à des questions visuelles ancrées (GVQA). C'est un terme un peu compliqué pour dire qu'on veut relier les réponses aux questions visuelles avec les parties correspondantes d'une image.

Imagine demander : "Où est la Tour Eiffel ?" et obtenir non seulement un "Paris" mais une petite boîte sur la vraie Tour Eiffel ! C'est la magie du GVQA. On peut fournir des preuves claires pour les réponses, et cette méthode aide avec ça.

Pour y parvenir, on a deux façons d'identifier les parties pertinentes d'une image :

  1. Méthode de base : On regarde toutes les couches du modèle pour trouver le meilleur ajustement entre les mots et différentes parties de l'image. Cela nous aide à comprendre où tout se trouve.

  2. Méthode de boîte englobante : Celle-ci est un peu plus cool. Au lieu de juste vérifier chaque partie, on regarde tous les patchs de l'image et trouve la boîte englobante qui correspond le mieux à la réponse. De cette façon, on peut donner un espace visible clair plutôt que juste des points vagues.

Cela rend les choses plus faciles à suivre pour les utilisateurs, surtout quand leur but principal est de découvrir où se trouve quelque chose et pas juste de voir des points mal assortis.

Tester nos théories

Pour s'assurer que nos idées fonctionnent, on les a testées sur trois jeux de données différents. Ces jeux de données incluent une variété d'images et de questions pour qu'on puisse voir à quel point notre méthode tient le coup dans différentes situations.

Dans nos tests, on a constaté que notre méthode fonctionne très bien dans de nombreux domaines. Pour détecter les hallucinations, on a utilisé un jeu de données appelé HQH, qui a une collection de photos avec des questions pouvant mener à divers types d'hallucinations.

Pour les tâches de GVQA, on a utilisé deux autres jeux de données appelés TextVQA-X et VizWiz-G. Notre nouvelle méthode a souvent mieux performé que les techniques plus anciennes, prouvant qu'elle peut efficacement établir des liens clairs entre les images et les réponses.

Résultats et ce qu'ils signifient

Dans nos tests, on a vu que bien que le logit lens ait ses forces, il a du mal avec des questions plus compliquées impliquant des comparaisons ou des relations spatiales. C'est là que notre méthode est intervenue, performant beaucoup mieux et donnant des réponses qui avaient du sens.

Dans des domaines comme le comptage, où le modèle doit déterminer combien d'objets sont présents, l'ancienne méthode a encore mieux fait. Cela nous montre que même si on s'améliore, il y a encore de la place pour progresser dans certaines tâches spécifiques.

Notre méthode fournit également une excellente précision. Quand on crée des boîtes englobantes, elles s'adaptent étroitement aux parties pertinentes. Cela facilite la vérification visuelle des réponses pour les utilisateurs. C'est comme recevoir une épingle Google Maps précise plutôt qu'une zone vague.

Perspectives qualitatives

Pour illustrer à quel point notre méthode fonctionne bien, on s'est amusé à montrer les résultats. On a choisi des exemples où le modèle a réussi à ancrer des réponses dans les images. Par exemple, il a mis en évidence l'endroit correct de Big Ben dans le ciel. Ce genre de réussite montre comment notre méthode non seulement identifie des réponses mais les lie aussi avec des preuves visuelles d'une manière qui a du sens.

De plus, notre méthode peut même ancrer des réponses dans des graphiques ou des infographies, ce qui est impressionnant. Cela ouvre la porte à l'utilisation de ces modèles multimodaux dans des domaines plus complexes, les rendant vraiment polyvalents.

Leçons apprises

Notre travail prouve qu'utiliser des contextual embeddings peut améliorer significativement la détection des hallucinations et le grounding visuel dans les LMM. En tirant parti de l'information plus riche trouvée dans ces embeddings, on peut faire mieux fonctionner les modèles, comprendre des relations complexes et donner des réponses plus claires.

Cependant, on reconnaît aussi certains défis. La plupart de nos tests se sont concentrés sur des questions simples, et élargir vers des jeux de données plus diversifiés ou délicats pourrait améliorer les performances du modèle encore plus. De plus, on a appris que le comptage reste un domaine délicat où des améliorations peuvent être apportées, et trouver des moyens d'augmenter le rappel sans sacrifier la précision pourrait mener à un système encore meilleur.

Conclusion

En résumé, on a fait des progrès pour rendre les modèles plus intelligents et moins enclins à imaginer des choses qui ne sont pas là. En utilisant des contextual token embeddings, on a amélioré la capacité à détecter les hallucinations et à affiner les réponses d'une manière qui fait que les utilisateurs font plus confiance à la technologie. On pense que cela ouvre la voie à une meilleure compréhension des images et du texte combinés, rendant plus facile pour les gens d'obtenir les informations dont ils ont besoin sans s'inquiéter d'être trompés.

Alors la prochaine fois que tu entends un modèle déclarer avec confiance "Ce gâteau est délicieux !" souviens-toi, il vaut peut-être mieux vérifier s'il y a vraiment un gâteau dans le frigo. Avec nos avancées, on peut au moins rendre ces conclusions plus faciles à ancrer dans la réalité !

Source originale

Titre: Beyond Logit Lens: Contextual Embeddings for Robust Hallucination Detection & Grounding in VLMs

Résumé: The rapid development of Large Multimodal Models (LMMs) has significantly advanced multimodal understanding by harnessing the language abilities of Large Language Models (LLMs) and integrating modality-specific encoders. However, LMMs are plagued by hallucinations that limit their reliability and adoption. While traditional methods to detect and mitigate these hallucinations often involve costly training or rely heavily on external models, recent approaches utilizing internal model features present a promising alternative. In this paper, we critically assess the limitations of the state-of-the-art training-free technique, the logit lens, in handling generalized visual hallucinations. We introduce a refined method that leverages contextual token embeddings from middle layers of LMMs. This approach significantly improves hallucination detection and grounding across diverse categories, including actions and OCR, while also excelling in tasks requiring contextual understanding, such as spatial relations and attribute comparison. Our novel grounding technique yields highly precise bounding boxes, facilitating a transition from Zero-Shot Object Segmentation to Grounded Visual Question Answering. Our contributions pave the way for more reliable and interpretable multimodal models.

Auteurs: Anirudh Phukan, Divyansh, Harshit Kumar Morj, Vaishnavi, Apoorv Saxena, Koustava Goswami

Dernière mise à jour: 2024-11-28 00:00:00

Langue: English

Source URL: https://arxiv.org/abs/2411.19187

Source PDF: https://arxiv.org/pdf/2411.19187

Licence: https://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/4.0/

Changements: Ce résumé a été créé avec l'aide de l'IA et peut contenir des inexactitudes. Pour obtenir des informations précises, veuillez vous référer aux documents sources originaux dont les liens figurent ici.

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