Accélérer les modèles de langue avec PLD+
PLD+ améliore l'efficacité des grands modèles de langage lors de la génération de texte.
Shwetha Somasundaram, Anirudh Phukan, Apoorv Saxena
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Table des matières
Le monde des grands modèles de langage (LLMs) est vraiment excitant, avec plein de nouvelles façons d'interagir avec la tech grâce au langage naturel. Par contre, ces modèles peuvent être lents, surtout quand ils génèrent du texte un mot à la fois. Ce délai devient plus perceptible à mesure que les modèles deviennent plus gros et que les textes qu'ils créent s’allongent.
Pour régler ce problème, les chercheurs ont trouvé des moyens d’accélérer le fonctionnement de ces modèles. Une approche qui se démarque, c'est le décodage spéculatif. Ce truc permet aux modèles de réfléchir à l'avance et de proposer plusieurs mots en même temps, en les vérifiant rapidement pour trouver le meilleur. Mais utiliser cette méthode a ses défis, comme le besoin de puissance de calcul supplémentaire et d'ajustements, ce qui peut rendre son utilisation immédiate un peu galère.
C'est là que le PLD+ entre en jeu. C'est un ensemble d'astuces intelligentes conçu pour accélérer le travail des LLMs sans trop de tracas. PLD+ profite des tâches où la sortie correspond presque à l'entrée, comme l'Édition de code ou la synthèse de texte. En procédant ainsi, il rend les LLMs plus rapides sans avoir besoin de réglages supplémentaires ou de ressources informatiques.
Qu'est-ce que le PLD+ ?
PLD+ signifie Décodage de Recherche de Prompt Plus. C'est une technique qui améliore la rapidité des LLMs lors de tâches où l'entrée et la sortie ont beaucoup en commun. PLD+ utilise des infos créées pendant le travail du modèle, comme les états cachés et les cartes d'attention, pour choisir les meilleurs brouillons de mots à utiliser.
En gros, ça prend les mots suivants possibles directement de l'entrée au lieu de nécessiter un modèle séparé pour aider. Cette méthode est simple et fonctionne bien pour les tâches avec un contexte riche, comme l'édition ou la synthèse.
Comment ça fonctionne, le PLD+ ?
Quand le LLM doit générer un mot, PLD+ regarde l'entrée pour des candidats potentiels. Ça utilise les données du modèle—en gros, ce qu'il a appris jusqu'ici—pour décider quels mots ont le plus de sens comme prochaine sortie. Ça se fait en deux étapes principales : la rédaction et la Vérification.
Rédaction
Dans la phase de rédaction, PLD+ cherche des mots dans l'entrée qui pourraient faire de bons candidats pour ce qui vient ensuite. Il recherche des chevauchements de sens et de structure, ce qui peut donner des indices sur ce que devrait être la sortie. Cette méthode aide dans les tâches où la sortie est susceptible de refléter de près l'entrée.
Vérification
Après avoir proposé des mots de brouillon, la phase suivante est la vérification. Ici, le modèle vérifie si les mots suggérés dans le brouillon collent vraiment à ce qu'il produirait avec sa méthode normale. Si ça marche, ils sont acceptés et ajoutés à la sortie finale.
Qui en profite avec le PLD+ ?
Le PLD+ est particulièrement utile pour les tâches où le modèle peut tirer de l'entrée pour créer sa sortie, comme :
- Édition de code : Corriger et peaufiner des extraits de code.
- Synthèse de texte : Réduire de gros morceaux de texte en résumés concis.
- Conversations à plusieurs tours : Suivre le dialogue en prenant en compte le contexte.
Pour ces tâches, le PLD+ aide le LLM à travailler plus efficacement, permettant des réponses plus rapides et une meilleure expérience utilisateur.
Résultats expérimentaux
Les chercheurs ont mené plein de tests pour voir à quel point le PLD+ fonctionnait par rapport à d'autres méthodes. Ils ont découvert que le PLD+ non seulement accélère les choses, mais souvent mieux que d'autres techniques nécessitant un entraînement supplémentaire. C'était particulièrement efficace dans des scénarios où l'entrée et la sortie partageaient beaucoup de similitudes.
Comparaison des techniques
Dans divers tests, le PLD+ a montré qu'il pouvait surpasser d'autres méthodes en termes de rapidité et de précision. Les utilisateurs ont trouvé qu'avec le PLD+, ils pouvaient obtenir des résultats plus rapidement sans sacrifier la qualité. Ça fait de lui un choix pratique pour les développeurs et les utilisateurs.
Conclusion
Le PLD+ représente une chouette solution à un problème courant dans les LLMs : des temps d'inférence lents. En choisissant intelligemment des mots en fonction du contexte d'entrée et en les vérifiant rapidement, le PLD+ aide à rendre les LLMs plus réactifs et efficaces. C'est sympa pour les utilisateurs qui veulent intégrer des LLMs dans leurs applications sans s'engager dans les complexités de l'ajustement et des besoins en ressources supplémentaires.
Alors, que tu sois en train d'éditer un peu de code, de rédiger un résumé ou de discuter avec ton pote AI, le PLD+ est là pour rendre cette expérience plus rapide et fluide—comme une brise par une journée d'été !
Source originale
Titre: PLD+: Accelerating LLM inference by leveraging Language Model Artifacts
Résumé: To reduce the latency associated with autoretrogressive LLM inference, speculative decoding has emerged as a novel decoding paradigm, where future tokens are drafted and verified in parallel. However, the practical deployment of speculative decoding is hindered by its requirements for additional computational resources and fine-tuning, which limits its out-of-the-box usability. To address these challenges, we present PLD+, a suite of novel algorithms developed to accelerate the inference process of LLMs, particularly for input-guided tasks. These tasks, which include code editing, text editing, summarization, etc., often feature outputs with substantial overlap with their inputs-an attribute PLD+ is designed to exploit. PLD+ also leverages the artifacts (attention and hidden states) generated during inference to accelerate inference speed. We test our approach on five input-guided tasks and through extensive experiments we find that PLD+ outperforms all tuning-free approaches. In the greedy setting, it even outperforms the state-of-the-art tuning-dependent approach EAGLE on four of the tasks. (by a margin of upto 2.31 in terms of avg. speedup). Our approach is tuning free, does not require any additional compute and can easily be used for accelerating inference of any LLM.
Auteurs: Shwetha Somasundaram, Anirudh Phukan, Apoorv Saxena
Dernière mise à jour: 2024-12-02 00:00:00
Langue: English
Source URL: https://arxiv.org/abs/2412.01447
Source PDF: https://arxiv.org/pdf/2412.01447
Licence: https://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/4.0/
Changements: Ce résumé a été créé avec l'aide de l'IA et peut contenir des inexactitudes. Pour obtenir des informations précises, veuillez vous référer aux documents sources originaux dont les liens figurent ici.
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Liens de référence
- https://ctan.org/pkg/float
- https://www.latex-project.org/help/documentation/encguide.pdf
- https://github.com/CodeEditorBench/CodeEditorBench
- https://github.com/megagonlabs/xatu
- https://argrewrite.cs.pitt.edu/
- https://huggingface.co/spaces/lmsys/mt-bench
- https://github.com/hemingkx/Spec-Bench
- https://acl-org.github.io/ACLPUB/formatting.html
- https://aclweb.org/anthology/anthology.bib.gz