Aperçus vibratoires sur les matériaux hybrides quasi-2D
Enquête sur les propriétés vibratoires des matériaux hybrides en couches pour l'électronique.
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Table des matières
- Importance des corrections de Van der Waals
- Propriétés vibratoires et calculs de phonons
- Stabilité des pérovskites halogénées en couches
- Étude comparative de matériaux sélectionnés
- État fondamental et coupures d'énergie
- Vibrations couplées uniques
- Structure cristalline et configurations
- Calculs de Structure Électronique
- Optimisation géométrique et convergence
- Modes de phonons et densité d'états vibratoires
- Couplage entre parties organiques et inorganiques
- Dispersion des phonons et directionnalité
- Comparaison de différents types de pérovskites
- Conclusion
- Directions de recherche futures
- Source originale
- Liens de référence
Dans cette étude, on se penche sur les Propriétés vibratoires et les phonons de certains matériaux hybrides quasi-2D composés de parties organiques et inorganiques. Les matériaux qu'on examine sont (BA)CsPbI, (HA)CsPbI, (BA)(MA)PbI et (HA)(MA)PbI. Ces matériaux ont des structures complexes, donc on commence par bien choisir les bons réglages pour décrire leur comportement et leurs mouvements.
Importance des corrections de Van der Waals
On a découvert qu'en ajoutant des corrections spécifiques liées aux forces faibles entre les atomes, appelées corrections de Van der Waals, en plus d'une méthode standard pour calculer les interactions, on obtient des résultats qui correspondent bien à ce que montrent les expériences. On a aussi regardé comment l'arrangement des molécules influence la structure globale de ces matériaux en couches. Nos résultats montrent que la façon dont certains dipôles, ou parties chargées des molécules, s'alignent est moins probable dans la direction qu'on pensait au départ. On a aussi identifié un agencement symétrique pour l'état à basse température de l'un des matériaux.
Propriétés vibratoires et calculs de phonons
Ensuite, on a calculé les propriétés vibratoires de ces matériaux en utilisant une méthode qui suppose de petits mouvements dans les atomes. Pour obtenir des résultats fiables, on a constaté qu'on avait besoin de limites d'énergie strictes. Une fois qu'on avait des résultats bien définis, on a pu voir des détails importants sur le comportement de ce matériau large et varié. Notre analyse a révélé un mélange de vibrations ressemblant à celles trouvées dans des matériaux en vrac, mais on a aussi trouvé des mouvements uniques non observés dans les parties pures.
Les Modes de phonons à énergie plus basse, ou vibrations, se produisent principalement dans le plan du matériau. Ils proviennent de la façon dont la structure de cadre iodure de plomb se plie et se déplace. Ces découvertes aident à préparer le terrain pour d'autres études futures sur ces matériaux, en examinant comment ils interagissent avec la lumière et comment leurs propriétés changent avec la température.
Stabilité des pérovskites halogénées en couches
Les pérovskites halogénées en couches, qui sont un type de ces matériaux hybrides, attirent l'attention pour leur potentiel dans l'électronique et les dispositifs émetteurs de lumière. Elles supportent mieux l'humidité que leurs homologues en vrac et offrent plus d'options dans les matériaux utilisés pour les créer. Cette flexibilité vient des parties organiques, du cadre inorganique et du nombre de couches qu'elles contiennent. Grâce à leur structure unique, ces matériaux peuvent avoir de fortes interactions avec la lumière, les rendant intéressants pour la recherche sur les excitons, qui sont des paires d'électrons et de trous.
Cependant, comprendre comment les vibrations dans ces matériaux affectent leurs propriétés thermiques et électroniques reste un défi. Bien que certaines expériences aient examiné comment les électrons et les vibrations de réseau interagissent, peu de travail théorique a été fait pour comprendre complètement ces systèmes.
Étude comparative de matériaux sélectionnés
On a examiné deux systèmes, (BA)(MA)PbI et (HA)(MA)PbI, qui ont été étudiés auparavant dans des expériences. Leurs structures contiennent des couches de pérovskite en vrac entrelacées avec de longues molécules organiques. On s'est concentré sur la plus petite catégorie de pérovskites en couches, qui ont malgré tout de petits cations à des positions importantes entre les couches d'iodure de plomb.
Comme ces matériaux sont complexes, on a pris des mesures pour définir soigneusement les paramètres utilisés dans nos calculs. On a confirmé qu'ajouter des corrections de Van der Waals aide à mieux décrire la stabilité du matériau par rapport aux données expérimentales. On a également regardé comment différentes orientations des molécules influencent la structure finale.
État fondamental et coupures d'énergie
Nos résultats suggèrent qu'une orientation stable des dipôles moléculaires dans la direction hors du plan est peu probable. Cette conclusion soutient une structure symétrique particulière pour la phase à basse température de l'un de nos matériaux. Pour calculer les vibrations, on a utilisé l'approximation harmonique. On a constaté que des coupures d'énergie strictes étaient essentielles pour obtenir des résultats fiables.
Une fois que les résultats étaient cohérents, l'approximation harmonique a révélé des aspects significatifs d'un matériau aussi complexe avec de nombreux atomes et types d'interactions différents. On a discuté des modes de phonons et de leur comportement similaire aux propriétés connues des pérovskites 3D en vrac.
Vibrations couplées uniques
On a noté que bien que beaucoup des propriétés vibratoires proviennent des systèmes d'origine, il y avait des vibrations combinées uniques qui ne pouvaient pas être reliées uniquement aux parties pures de la pérovskite ou aux ligands. Le comportement des modes de phonons à faible énergie se produit principalement dans le plan du matériau, montrant que ce matériau a des motifs vibratoires distincts.
Structure cristalline et configurations
On a basé nos calculs sur des données cristallographiques provenant de mesures expérimentales. On a découvert qu'à l'intérieur de nos matériaux, certains cations occupent des sites spécifiques dans les couches d'iodure de plomb. Cependant, selon le cation, on a observé des tendances différentes dans la façon dont les structures s'arrangeaient et comment elles changeaient lorsqu'elles étaient exposées à différentes températures.
Structure Électronique
Calculs dePour nos calculs, on a utilisé une méthode appelée théorie de la fonctionnelle de densité pour examiner la structure électronique de nos matériaux. On s'est concentré sur la comparaison de différentes formes fonctionnelles pour mieux comprendre comment les arrangements des atomes impactent d'autres propriétés comme les vibrations. On a découvert qu'utiliser certains schémas de correction de dispersion améliorait la proximité de nos structures calculées par rapport aux données expérimentales.
Optimisation géométrique et convergence
En optimisant les arrangements géométriques de nos matériaux, on s'est assuré que les paramètres utilisés concordaient avec ce qu'on attendait des structures expérimentales. On a réalisé des tests pour confirmer la stabilité et la convergence des résultats. Enfin, on a choisi un système, (HA)CsPbI, pour étudier en détail les propriétés vibratoires.
Modes de phonons et densité d'états vibratoires
Au départ, on a résumé les modes de phonons de notre matériau choisi. Les modes de phonons à faible énergie sont clés car ils sont plus susceptibles d'être actifs à température ambiante. On a observé que les mouvements de la composante inorganique ressemblaient de près aux modes vibratoires connus dans les pérovskites 3D.
Bien que de nombreux modes de phonons présentent des caractéristiques similaires à celles observées dans des structures en vrac, on a aussi trouvé des modes qui apparaissaient uniquement dans nos structures en couches. Certains de ces mouvements uniques incluaient des mouvements de cisaillement et des expansions générales le long de différents axes.
Couplage entre parties organiques et inorganiques
Quand on a examiné comment les parties organiques et inorganiques interagissaient, on a découvert que les sous-structures organiques se déplaçaient en synchronisation avec les composants inorganiques plus lourds à basse énergie. À haute énergie, on a identifié des modes reflétant un mélange de mouvements des deux parties, suggérant qu'elles vibraient indépendamment tout en montrant encore certaines interactions.
Dispersion des phonons et directionnalité
On a aussi exploré la dispersion des phonons, en se concentrant sur comment ces vibrations se comportent dans différentes directions. On a découvert que la plupart des branches de phonons ne montraient pas beaucoup de dispersion, ce qui signifie qu'elles étaient stables à différentes énergies. Les branches de phonons qui exhibaient une certaine dispersion impliquaient principalement la structure de cadre iodure de plomb.
Notre analyse a montré que les modes à énergie plus basse étaient plus dispersifs dans le plan du matériau que dans la direction verticale, ce qui est cohérent avec la nature bidimensionnelle de la structure de pérovskite.
Comparaison de différents types de pérovskites
On a aussi comparé les propriétés vibratoires des systèmes avec différents cations. On a observé que les cations plus légers avaient un impact plus fort sur les vibrations du réseau d'iodure de plomb que les plus lourds. La plupart des modes de phonons étaient similaires entre les deux types, mais il y avait des comportements distincts qui peuvent influer sur la façon dont ces matériaux répondent dans des applications.
Conclusion
Pour résumer, notre enquête approfondie sur les propriétés des phonons des pérovskites quasi-2D aide à clarifier comment ces matériaux se comportent dans différentes conditions. On a validé plusieurs méthodes pour décrire précisément leurs structures et interactions, menant à des insights importants concernant l'alignement des dipôles moléculaires et la nature de leurs propriétés vibratoires. Nos découvertes contribuent à une meilleure compréhension de la manière dont ces matériaux uniques peuvent être appliqués dans l'électronique et la photonique.
Directions de recherche futures
Les études futures devraient s'appuyer sur nos résultats en examinant comment ces propriétés des phonons peuvent influencer les caractéristiques optoélectroniques comme le couplage des excitons et les comportements dépendants de la température. Comprendre comment les vibrations uniques de ces matériaux peuvent être utilisées dans des applications pratiques reste un domaine de recherche passionnant.
Titre: Lattice dynamics of quasi-2D perovskites from first-principles
Résumé: We present the vibrational properties and phonon dispersion for quasi-2D hybrid organic-inorganic perovskites (BA)$_2$CsPb$_2$I$_7$, (HA)$_2$CsPb$_2$I$_7$, (BA)$_2$(MA)Pb$_2$I$_7$, and (HA)$_2$(MA)Pb$_2$I$_7$ calculated from first principles. Given the highly complex nature of these compounds, we first perform careful benchmarking and convergence testing to identify suitable parameters to describe their structural features and vibrational properties. We find that the inclusion of van der Waals corrections on top of generalized gradient approximation (GGA) exchange-correlation functionals provides the best agreement for the equilibrium structure relative to experimental data. We then compute vibrational properties under the harmonic approximation. We find that stringent energy cut-offs are required to obtain well-converged phonon properties, and once converged, the harmonic approximation can capture key physics for such a large, hybrid inorganic-organic system with vastly different atom types, masses, and interatomic interactions. We discuss the obtained phonon modes and dispersion behavior in the context of known properties for bulk 3D perovskites and ligand molecular crystals. While many vibrational properties are inherited from the parent systems, we also observe unique coupled vibrations that cannot be associated with vibrations of the pure constituent perovskite and ligand subphases. Dispersive low energy phonon branches primarily occur in the in-plane direction and within the perovskite subphase, and arise from bending and breathing modes of the equatorial Pb-I network within the perovskite octahedral plane.
Auteurs: Emily Y. Chen, Bartomeu Monserrat
Dernière mise à jour: 2024-01-19 00:00:00
Langue: English
Source URL: https://arxiv.org/abs/2401.10994
Source PDF: https://arxiv.org/pdf/2401.10994
Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/
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