Comprendre la candidose vaginale : causes et traitements
Renseigne-toi sur les infections à levures, leurs causes, symptômes et options de traitement.
― 5 min lire
Table des matières
La Candidose vaginale, aussi appelée infection à LEVURES, est un problème fréquent pour pas mal de femmes. On estime qu'environ 75 % des femmes vont y faire face au moins une fois dans leur vie. Imagine ça ! C'est comme une fête surprise que tu voulais pas. La plupart des femmes l'attrapent une fois et s’en vont, mais certaines malchanceuses se retrouvent à gérer ça encore et encore. Si tu fais partie de ces femmes, c’est super important de trouver le bon traitement pour améliorer les choses.
Qu'est-ce qui cause ça ?
Alors, qu'est-ce qui se passe dans le vagin pour que ça arrive ? Eh bien, le vagin a son propre équilibre de petits organismes, y compris une levure amicale appelée Candida. Le souci, c'est que parfois cet équilibre est perturbé. Ça peut arriver pour plusieurs raisons, comme prendre des antibiotiques, avoir un système immunitaire affaibli, ou gérer des problèmes comme le diabète ou le stress. C'est un peu comme si la levure faisait une grosse fête quand les conditions sont idéales, et c'est difficile de les arrêter.
La plupart du temps, c'est un type de levure appelé Candida albicans qui commence la fête. C'est le coupable le plus courant. Mais il y a aussi d'autres types qui peuvent s'inviter, comme C. glabrata et C. krusei. Ceux-là peuvent être un peu plus compliqués à gérer car ils ne répondent pas toujours bien aux traitements habituels.
Comment on sait que c'est une candidose vaginale ?
Quand les femmes vont chez le doc avec des symptômes, c’est généralement accompagné de démangeaisons, d'irritation, et de pertes inhabituelles. C’est pas le top, et pour certaines, ça peut même influencer leur humeur et leur santé mentale. Pense à combien tu peux être grincheuse avec un mal de tête – maintenant ajoute des démangeaisons et de l'irritation dans une zone sensible. Pas fun, non ?
Pour savoir si c'est une infection à levures, les docs prennent souvent des échantillons de pertes vaginales et les envoient au labo pour des tests. Les labos vont faire leur magie avec des cultures et des milieux spéciaux pour voir quel type de levure traîne. Ils vérifient à quoi ça ressemble sous un microscope et comment ça pousse dans différentes conditions. C’est comme une expérience scientifique, mais tout le monde espère des bonnes nouvelles au lieu de plus de levures.
Test pour le traitement
Une fois la levure identifiée, l'étape suivante est de voir à quel point elle est sensible aux différents médicamente Antifongiques. C’est super important car certaines souches de levures deviennent résistantes aux médicaments avec le temps. C'est comme apprendre aux levures à esquiver les traitements !
Le labo utilise une technique spéciale pour tester la levure contre différents antifongiques. Ils mettent en place une boîte de pétri et voient comment la levure pousse en présence de ces médicaments. Parfois, la levure est sensible, ça veut dire que le médicament fonctionne bien, et parfois elle est résistante, ce qui signifie qu'il est temps de trouver une nouvelle solution.
Les résultats
Dans une étude récente, un total de 124 échantillons de femmes ont été testés. Les résultats ont montré que presque 86 % des levures trouvées étaient C. Albicans, ce qui n'est pas surprenant. C. glabrata représentait environ 7 %, et C. krusei était présent à environ 4 %. Le reste était d'autres types de levures.
Ce qui est encore plus intéressant, c'est qu'ils ont examiné comment ces types de levures réagissaient aux traitements antifongiques. Par exemple, seulement un petit pourcentage de C. albicans montrait une résistance au fluconazole (FLU), un antifongique courant. En revanche, C. glabrata avait un taux de résistance plus élevé. C. krusei, quant à elle, était déjà connue pour être difficile et montrait une résistance complète à un autre antifongique appelé itraconazole (ITRA).
Donc, qu'est-ce que ça signifie pour les femmes qui dealent avec des infections à levures ? Ça montre que même si C. albicans reste le principal méchant, certaines autres souches deviennent plus difficiles à traiter.
Quand demander de l'aide
Si tu te sens mal à l'aise ou que tu suspectes une infection à levures, c’est super important de pas te traiter toi-même sans demander conseil. Certes, ces traitements en vente libre peuvent sembler attirants, mais ils ne sont pas toujours la meilleure solution. En fait, utiliser le mauvais médicament peut parfois aggraver les choses, donc c’est mieux d’obtenir un diagnostic correct et de suivre le traitement recommandé.
Évolution des tendances
Les chercheurs remarquent que même si C. albicans est toujours la cause la plus fréquente des infections à levures, des souches comme C. glabrata et C. krusei deviennent plus courantes et résistantes. Ce changement sert de signal d'alerte : plus on compte sur certains traitements sans tests appropriés, plus on risque de voir ces souches croître en nombre et en puissance.
Conclusion
La candidose vaginale est un problème commun, et même si ça peut être inconfortable, ça reste souvent gérable avec les bons soins. Comprendre les bases de ce qui le cause, comment l'identifier, et comment le traiter peut faire une grande différence dans la vie de n'importe quelle femme.
Alors, la prochaine fois que tu ressens ces symptômes embêtants, souviens-toi que tu n'es pas seule, et n'hésite pas à demander de l'aide pro. Après tout, personne ne veut d’une fête surprise d’infection à levures dans sa vie, et avec le bon traitement, tu peux foutre dehors ces invités indésirables pour de bon !
Titre: Candida species isolated in female patients of reproductive age with vaginal candidiasis in Gualeguaychu, Entre Rios, Argentina
Résumé: Objective: To identify the Candida species isolated in female patients of reproductive age with vaginal candidiasis. To determine the antifungal (ATF) sensitivity profile of the isolated Candida species. Materials and methods: Cross-sectional descriptive study, in which 124 Candida spp strains from vaginal discharge samples were isolated in Sabouraud medium supplemented with glucose. CHRO Magar Candida was used for species identification and complementary tests such as germ tube, chlamydoconidia development and investigation of trehalose assimilation were performed. In vitro sensitivity was investigated by diffusion method with ATF discs fluconazole (FLU), itraconazole (ITRA) and amphotericin B (AMB). Results: C. albicans was observed in 85.5% of the isolates followed by C. glabrata with 7.3%, C. krusei 4%, C. tropicalis 2.4% and other Candida species. For FLU, 0.9% of C. albicans, 11.1% of C. glabrata and 100% of C. krusei isolates showed resistance. For ITRA, 17% of C. albicans isolates, 55.6% of C. glabrata and 100% of C. krusei were resistant. There were no isolates resistant to AMB. Conclusions: Vaginal candidiasis continues to present Candida albicans as the main etiological agent, which is widely sensitive to ATFs. C. glabrata and C. krusei species show increased resistance to azoles. The results obtained ratify the growing need for Candida species identification tests and determination of in vitro sensitivity to ATFs in order to guide the treatment of vaginal candidiasis towards therapeutic success.
Auteurs: Pérez Duarte Iván Rodrigo, Razetto Georgina, Leiva Silvina Érica, Torres Luciano, Juárez María Josefina
Dernière mise à jour: Nov 2, 2024
Langue: English
Source URL: https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2024.11.02.620544
Source PDF: https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2024.11.02.620544.full.pdf
Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/
Changements: Ce résumé a été créé avec l'aide de l'IA et peut contenir des inexactitudes. Pour obtenir des informations précises, veuillez vous référer aux documents sources originaux dont les liens figurent ici.
Merci à biorxiv pour l'utilisation de son interopérabilité en libre accès.