Comprendre la santé mentale au Kenya
Examiner les défis et les disparités en santé mentale au Kenya.
Patrick N. Mwangala, Anita Kerubo, Millicent Makandi, Rachael Odhiambo, Amina Abubakar
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Table des matières
- L'Importance de la Santé Mentale
- La Situation Actuelle au Kenya
- Le Fardeau des Problèmes de Santé Mentale
- Un Regard de Plus Près sur le Kenya
- Qui est Touché ?
- Efforts du Gouvernement
- Collecte et Analyse de Données
- L'Échantillon
- Problèmes de Santé Mentale au Kenya
- Dépression et Anxiété
- Trouble de Stress Post-Traumatique (TSPT)
- Problèmes de Consommation de Substances
- Différences de Genre
- Facteurs Contribuant aux Problèmes de Santé Mentale
- Facteurs de Risque Partagés
- Facteurs Spécifiques aux Femmes
- Facteurs Spécifiques aux Hommes
- Facteurs Protecteurs
- L'Importance du Soutien Communautaire
- Conclusion
- Le Chemin à Suivre
- Source originale
La Santé mentale, c'est super important. C'est pas juste une question de se sentir heureux ou triste ; ça joue un rôle clé dans notre santé globale et ça impacte plein de domaines de la vie comme le boulot, la paix et la justice. Si notre tête va pas, notre corps et nos communautés en pâtissent aussi. Au Kenya, ce sujet commence à attirer plus d'attention, les gens réalisent à quel point la santé mentale est essentielle. Malheureusement, beaucoup ont encore du mal à trouver l'aide dont ils ont besoin. Cet article explore l'état de la santé mentale et des problèmes de Consommation de substances au Kenya, en mettant l'accent sur la façon dont cela affecte différemment les hommes et les femmes.
L'Importance de la Santé Mentale
Imagine ton esprit comme un jardin. S'il est rempli de mauvaises herbes (ou de problèmes de santé mentale), les fleurs (ou les bonnes pensées) peuvent pas pousser. Une mauvaise santé mentale empêche les gens de vivre leur meilleure vie, et ça rend les tâches quotidiennes plus difficiles. C'est pour ça que la santé mentale est vitale pour tout le monde, même dans des endroits comme le Kenya où beaucoup de gens subissent des problèmes de santé mentale en plus de d'autres défis comme des difficultés économiques.
La Situation Actuelle au Kenya
Au Kenya, la santé mentale n'a pas toujours été une priorité. Mais ces dernières décennies, plus de gens ont commencé à en parler. Cette prise de conscience est super importante parce qu'elle aide ceux qui ont besoin d'aide à s'exprimer et à chercher du soutien. Malheureusement, même avec cette attention accrue, il reste encore beaucoup de lacunes. On estime qu'un nombre incroyable de personnes au Kenya n'ont pas accès aux services de santé mentale, les laissant comme des gamins coincés dans un magasin de bonbons sans argent - conscients de ce dont ils ont besoin mais incapables de l'obtenir.
Le Fardeau des Problèmes de Santé Mentale
Les problèmes de santé mentale, c'est comme des invités non désirés qui refusent de partir. Des troubles comme la Dépression et l'Anxiété sont devenus de gros contributeurs aux maladies dans le monde entier, surtout dans les pays à faible et moyen revenu. Des données récentes suggèrent que ces problèmes sont courants au Kenya, avec beaucoup de gens qui ressentent des symptômes de dépression, d'anxiété et de trouble de stress post-traumatique (TSPT).
Un Regard de Plus Près sur le Kenya
Le Kenya est actuellement en train de passer d'une concentration sur les maladies infectieuses à la gestion des maladies non transmissibles comme les troubles de santé mentale. Ça veut dire que plus de gens vivent plus longtemps, mais beaucoup luttent aussi avec des problèmes de santé mentale qui étaient moins visibles avant. Avec une population jeune croissante, le pays fait face à un défi unique pour répondre à ces besoins.
Qui est Touché ?
Les données montrent qu'environ 25 % des patients externes et 40 % des patients hospitalisés dans les établissements de santé au Kenya souffrent de problèmes de santé mentale. C'est comme avoir une équipe de sport où presque la moitié des joueurs sont sur le banc à cause de blessures. Les problèmes courants incluent la dépression et l'anxiété, les jeunes étant particulièrement vulnérables. C'est un signal d'alarme pour tout le monde !
Efforts du Gouvernement
Le gouvernement kényan a pris les choses en main avec de nouvelles politiques et des plans visant à améliorer les services de santé mentale. Ça inclut une série de stratégies pour s'attaquer à ces problèmes, comme la Politique de Santé Mentale du Kenya et divers plans d'action. Même si ces efforts sont louables, leur mise en œuvre laisse encore à désirer. Environ 75 % des Kényans ont encore du mal à accéder aux soins de santé mentale.
Collecte et Analyse de Données
Pour vraiment comprendre le paysage de la santé mentale, des chercheurs ont commencé à rassembler des données dans diverses régions du Kenya. Ils ont parlé avec plus de 1500 adultes dans des villes et des zones rurales. Ces données aident à révéler qui a le plus de difficultés et quels facteurs contribuent à ces problèmes.
L'Échantillon
Les participants à l'étude comprenaient des hommes et des femmes, âgés de 18 ans et plus. Ils ont été recrutés dans différents comtés, tels que Nairobi, Mombasa et Kwale. Tout le monde a répondu à des questions sur sa santé mentale, son mode de vie et son passé pour obtenir une image plus claire de leur bien-être global.
Problèmes de Santé Mentale au Kenya
Dépression et Anxiété
Une étude récente a révélé qu'environ 26 % des participants ont signalé des symptômes de dépression. C'est bien plus élevé que beaucoup de moyennes mondiales. L'anxiété est aussi un gros problème, touchant environ 11 % de la population. Fait intéressant, les femmes ont déclaré ressentir ces problèmes plus fortement que les hommes.
Trouble de Stress Post-Traumatique (TSPT)
Le TSPT est souvent négligé, mais c'est aussi un problème important au Kenya. Environ 21 % des participants ont signalé des symptômes compatibles avec le TSPT. Cela indique une tendance préoccupante où beaucoup de gens gèrent des traumatismes - peut-être à cause de la violence, des abus ou d'autres expériences troublantes.
Problèmes de Consommation de Substances
La consommation de substances, y compris l'alcool et les drogues, crée des défis supplémentaires. Même si les taux de consommation de substances sont plus bas par rapport aux problèmes de santé mentale, ils posent toujours des problèmes substantiels. Environ 13 % des participants ont signalé une consommation actuelle d'alcool, tandis qu'environ 5 % ont déclaré utiliser des drogues.
Différences de Genre
Les hommes sont plus susceptibles de consommer des substances que les femmes, montrant un écart significatif. Cette différence pourrait être due aux normes culturelles, aux pressions sociétales ou à des stratégies d'adaptation différentes.
Facteurs Contribuant aux Problèmes de Santé Mentale
Plusieurs facteurs influencent la santé mentale au Kenya. Certains de ces facteurs sont uniques aux femmes, tandis que d'autres affectent les deux genres.
Facteurs de Risque Partagés
La vie urbaine, l'insécurité alimentaire et le fait de vivre des événements stressants étaient des facteurs communs menant à des problèmes de santé mentale chez les hommes et les femmes. Ça suggère que que tu sois en ville ou que tu fasses face à des problèmes inattendus, ces sources de stress peuvent avoir un impact sur la santé mentale.
Facteurs Spécifiques aux Femmes
Pour les femmes, des défis supplémentaires comme les dettes ménagères et le chômage jouent un rôle crucial dans la santé mentale. Ces problèmes peuvent accroître les sentiments de stress et de désespoir, rendant difficile la gestion.
Facteurs Spécifiques aux Hommes
Les hommes font face à des pressions différentes, comme l'impact des abus verbaux et sexuels. Curieusement, les hommes ont signalé des incidences plus élevées de ces problèmes que les femmes, ce qui est souvent peu abordé.
Facteurs Protecteurs
Bien que de nombreux facteurs puissent affecter négativement la santé mentale, certains aident à la protéger. Des niveaux de soutien plus élevés de la part de la famille et des amis, une bonne santé et l'engagement dans une activité physique peuvent améliorer le bien-être mental.
L'Importance du Soutien Communautaire
Faire partie d'une communauté ou avoir des liens familiaux solides peut créer un filet de sécurité, aidant les gens à se sentir moins isolés et plus soutenus dans les moments difficiles.
Conclusion
Le paysage de la santé mentale et de la consommation de substances au Kenya est complexe et nécessite une attention immédiate. Avec des taux plus élevés de dépression, d'anxiété et d'autres problèmes de santé mentale, beaucoup de gens ont du mal à trouver l'aide dont ils ont besoin. Grâce à un dialogue continu, un meilleur accès aux soins et des politiques gouvernementales ciblées, il y a de l'espoir pour des améliorations.
Le Chemin à Suivre
Pour l'avenir, le Kenya a besoin d'une approche globale qui s'attaque aux causes profondes des problèmes de santé mentale et de consommation de substances. En prenant en compte les défis uniques auxquels font face les hommes et les femmes, les communautés peuvent travailler ensemble pour créer un environnement qui promeut le bien-être mental pour tous.
La santé mentale compte, et agir peut aider les individus à reprendre leurs vies et les communautés à prospérer !
Titre: Prevalence and associated factors of mental and substance use problems among adults in Kenya: a community-based cross-sectional study
Résumé: BackgroundData on the burden and determinants of mental and substance use problems among women in urban and rural informal settlements in Kenya is sparse, thus limiting preventive and treatment efforts in these areas. To bridge the gap, we (a) determined the prevalence of depressive, anxiety and post-traumatic stress disorder (PTSD) symptoms and alcohol and drug use problems among women compared to their spouses and (b) examined the risk and protective indicators associated with these outcomes. MethodsData collection for this cross-sectional survey was conducted in 2022 in Mombasa, Kwale and Nairobi counties in Kenya. A total of 1528 adults (1048 women) took part. The 9-Item Patient Health Questionnaire, 7-Item Generalized Anxiety Disorder Scale, Primary Care PTSD Screen for DSM-5, Alcohol Use Disorders Identification Test, and Drug Use Disorders Identification Test were administered alongside other measures. Logistic regression was used to examine the correlates of mental and substance use problems. ResultsOverall, the prevalence of mental and substance use problems was 28% vs 22% (depressive symptoms), 12% vs 8% (general anxiety symptoms), 22% vs 21% (PTSD symptoms), 4% vs 15% (alcohol use problems), and 2% vs 12% (drug use problems) among women and their spouses respectively. The prevalence of depressive and anxiety symptoms was significantly higher among women compared to their male counterparts. On the other hand, both current and past-year alcohol and drug use were significantly higher in men than women. Among women, stressful life events, urban residence, food insecurity, family debt, unemployment, poor self-rated health, poor eyesight, and higher educational level were the risk indicators for elevated depressive, anxiety and PTSD symptoms. Conversely, sexual abuse, living in rented houses, urban residence, verbal abuse, stressful life events, and somatic complaints were the risk indicators for depressive, anxiety and PTSD symptoms in men. Protective indicators against mental health problems included social support, higher subjective wellbeing, older age (>50 years), increased vigorous exercise and higher household income (in both sexes). Risk indicators for current alcohol use in women included stressful life events, urban residence, being sexually active, and living in a single family. Among men, higher household income was associated with current alcohol use. Protective indicators against current alcohol use included being married, living in a larger household (>5), being a Muslim and having multimorbidity (in both sexes). Risk indicators for current drug use included unemployment and sexual abuse. Female sex was associated with reduced odds of current drug use. ConclusionThe burden of mental and substance use problems in women and their spouses is elevated for most of the conditions assessed. However, needs vary by gender and study location, highlighting the importance of targeted approaches in mental health services. Our results also highlight the need for multicomponent preventive and treatment strategies to mitigate the risks of mental and substance use problems in this population.
Auteurs: Patrick N. Mwangala, Anita Kerubo, Millicent Makandi, Rachael Odhiambo, Amina Abubakar
Dernière mise à jour: 2024-12-17 00:00:00
Langue: English
Source URL: https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2024.12.16.24319125
Source PDF: https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2024.12.16.24319125.full.pdf
Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/
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