Mise à jour du flux de données : le passage à FELIX-MROD
FELIX-MROD améliore la gestion des données pour ATLAS au CERN, garantissant des opérations fluides.
Evelin Bakos, Henk Boterenbrood, Mark Dönszelmann, Florian Egli, Luca Franco, Carlo A. Gottardo, René Habraken, Adriaan König, Antonio Pellegrino, Chrysostomos Valderanis, Jos Vermeulen, Thei Wijnen, Mengqing Wu
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Table des matières
- Pourquoi on a besoin d'un nouveau système
- Structure du système ATLAS
- L'ancien système : un aperçu rapide
- Voici FELIX-MROD
- Les composants de FELIX-MROD
- Comment les données circulent
- Nouvelle tech vs ancienne tech
- Tests et intégration
- Tests de performance
- Tests dans le monde réel au CERN
- Avantages de FELIX-MROD
- L'avenir de l'acquisition de données
- Conclusion
- Source originale
- Liens de référence
L'expérience ATLAS au CERN a beaucoup de données à traiter, surtout avec ses Tubes de Dérive à Muons (MDTS). Le système qui lit ces données, appelé MROD, tourne depuis plus de 15 ans. Comme tu peux t'en douter, c'est long pour la technologie. Pense à tes vieux gadgets, probablement incapables de faire tourner une appli simple maintenant ! MROD n'échappe pas à la règle ; il commence à montrer des signes de vieillissement. Pour éviter des soucis de données à l'avenir, les scientifiques ont conçu un nouveau système appelé FELIX-MROD. C'est un peu comme passer de l'internet dial-up à la fibre optique - des améliorations majeures de tous les côtés.
Pourquoi on a besoin d'un nouveau système
Aussi fiable que MROD ait été, il pourrait manquer de modules de rechange si beaucoup échouent en même temps. Imagine essayer de réparer ta voiture avec seulement une paire de clés à molette cassées - frustrant, non ? C'est là que FELIX-MROD entre en jeu. Il apporte du matos moderne pour que tout fonctionne bien, comme un bon vieux couteau suisse prêt à gérer n'importe quel souci.
Structure du système ATLAS
Les MDTs sont les acteurs principaux dans le spectromètre de muons ATLAS. Pense à eux comme les capteurs bien réglés d'un vaisseau spatial, garantissant que tout soit aligné et opérationnel. Chaque chambre MDT est composée de tubes de dérive qui détectent les signaux électriques lorsque des particules passent à toute vitesse. Ces signaux doivent être envoyés au système de lecture, et c'est là que le CSM intervient. C'est comme le bureau de poste de l'installation ATLAS, triant et envoyant l'information là où elle doit aller.
L'ancien système : un aperçu rapide
Chaque MDT a un ensemble de tubes de dérive qui collectent les signaux créés par les particules. Ces signaux sont envoyés à un module de service de chambre (CSM) qui organise les données. Ces données sont ensuite transmises à MROD, qui est responsable de mettre tout ça en petits paquets (ou fragments d'événements) à envoyer au système principal d'acquisition de données. Cependant, avec certains modules devenant plus vieux et nécessitant un remplacement, il était clair qu'il fallait quelque chose de nouveau pour garder l'emballage d'événements efficace et fonctionnel.
Voici FELIX-MROD
FELIX-MROD est là pour sauver la mise ! Ce nouveau système combine un peu de technologie moderne avec l'ancienne pour que les données continuent de circuler sans accroc. Il utilise un composant connu sous le nom de Front-End Link eXchange (FELIX) et un système logiciel appelé SWROD, qui ensemble peuvent faire tout le boulot lourd que faisait l'ancien MROD - juste mieux et plus vite.
Les composants de FELIX-MROD
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FELIX : C'est le routeur du groupe. Il dirige les données entrantes vers où elles doivent aller sans rien changer, un peu comme un policier de la circulation s'assurant que les voitures (données) arrivent à destination à temps.
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SWROD : C'est là que la magie opère. SWROD prend les données de FELIX et les formate en fragments d'événements, prêt à être envoyé, un peu comme un chef cuisinant un bon plat avant de le servir.
Comment les données circulent
Alors, comment toutes ces données se déplacent-elles ? Eh bien, d'abord, le MDT capte des signaux, qui sont envoyés au CSM. Là, les données sont organisées et envoyées à FELIX via une connexion rapide. FELIX passe les données à SWROD, qui les traite et les envoie aux serveurs principaux de collecte de données. C'est une machine bien huilée, travaillant ensemble pour que les données circulent sans accroc.
Nouvelle tech vs ancienne tech
Maintenant, parlons de comment le nouveau système se compare à l'ancien. Le MROD ne pouvait gérer que six connexions CSM, comme un serveur occupé jonglant avec six assiettes. FELIX-MROD, en revanche, peut gérer jusqu'à 48 connexions ! Imagine ce serveur capable de gérer un banquet entier. C'est le genre de mise à niveau dont on parle.
Tests et intégration
Avant de se mettre en route, FELIX-MROD devait être mis à l'épreuve. Les ingénieurs ont réalisé des tests pour s'assurer que tout fonctionnait correctement. Ils ont installé du matériel électronique sophistiqué et ont exécuté des simulations pour voir comment le système pouvait gérer les données provenant de plusieurs détecteurs. Spoiler alert : il a réussi avec brio.
Tests de performance
Les tests de performance ont montré que le système pouvait facilement gérer des taux de données élevés. De plus, il pouvait encore fonctionner superbement sous pression, comme un super-héros gérant une foule de fans. Pendant les tests, il a réussi à traiter les données à des taux allant jusqu'à 8,8 Go/s, ce qui est sacrément impressionnant.
Tests dans le monde réel au CERN
FELIX-MROD a été testé avec de vraies chambres MDT dans une installation du CERN. Là, l'équipe a effectué des tests utilisant des rayons cosmiques (des petites particules venant de l'espace) et a observé comment le nouveau système fonctionnait. Tout s'est bien passé, prouvant que le système est prêt pour les grands défis.
Avantages de FELIX-MROD
FELIX-MROD non seulement conserve la fonctionnalité essentielle de MROD, mais il apporte aussi de meilleures performances et plus de flexibilité. Ça veut dire qu'il peut facilement s'adapter à différentes situations sans souci.
L'avenir de l'acquisition de données
Avec son design moderne, FELIX-MROD est prêt à servir ATLAS et ses MDTs pour des années à venir. On parle même de l'utiliser pour de nouvelles mises à niveau de détecteurs à l'avenir. Qui aurait cru que l'acquisition de données pouvait être si excitante ?
Conclusion
Pour résumer, FELIX-MROD, c'est comme avoir une ceinture à outils pleine de gadgets high-tech, prête à relever n'importe quel défi de données qui se présente. Il assure que l'expérience ATLAS reste toujours un pas en avant, permettant aux scientifiques de continuer à rassembler des informations cruciales sans rater un battement. Pense à ça comme le super-héros ultime des données dans le monde de la physique des particules !
Titre: FELIX-MROD, a FELIX-based data acquisition system for the ATLAS Muon Drift Tubes
Résumé: The ATLAS Muon Drift Tube (MDT) ReadOut Drivers (MROD), 204 VME modules that are an essential part of the readout chain of the 1,150 MDT chambers, have been in operation for more than 15 years and are expected to remain in operation until about 2026. In the event of extensive failures the number of spare MROD modules may be insufficient. However, deployment of an adapted version of the Front-End LInk eXchange (FELIX) system, a new component of the ATLAS data acquisition (DAQ) infrastructure, may overcome potential MROD failures. This paper describes the design, functionality and performance of this adapted version, referred to as FELIX-MROD, and the test results of its integration into the ATLAS DAQ system.
Auteurs: Evelin Bakos, Henk Boterenbrood, Mark Dönszelmann, Florian Egli, Luca Franco, Carlo A. Gottardo, René Habraken, Adriaan König, Antonio Pellegrino, Chrysostomos Valderanis, Jos Vermeulen, Thei Wijnen, Mengqing Wu
Dernière mise à jour: 2024-11-12 00:00:00
Langue: English
Source URL: https://arxiv.org/abs/2411.07709
Source PDF: https://arxiv.org/pdf/2411.07709
Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/
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