Recherche de nouveaux bosons au LHC
Les scientifiques cherchent à trouver de nouveaux bosons lourds en utilisant le détecteur ATLAS au LHC.
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Table des matières
Ces dernières années, les scientifiques se sont concentrés sur la recherche de nouvelles particules lourdes lors de Collisions à haute énergie en utilisant des détecteurs avancés. Ces particules lourdes pourraient aider à expliquer certains mystères de la physique que les théories actuelles ne couvrent pas complètement. Une grosse installation scientifique qui bosse là-dessus, c'est le Grand collisionneur de hadrons (LHC), qui fait s'affronter des protons à des énergies très élevées. Cet article parle d'une recherche spécifique pour de nouveaux Bosons chargés et neutres qui se décomposent d'une certaine manière, en utilisant des Données collectées lors de ces collisions à haute énergie.
Le Setup de l'Expérience
Pour cette recherche, ils utilisent le Détecteur ATLAs, un instrument grand et complexe qui peut détecter différentes particules produites lors des collisions. Pendant sa deuxième période opérationnelle, appelée Run 2, le LHC a collecté un total de 139 inverse femtobarns (fb) de données. Ça veut dire que le LHC a compilé un nombre énorme d'événements provenant de collisions proton-proton à une énergie de 13 trillions d'électronsvolts (TeV).
Pourquoi Chercher des Bosons ?
En physique des particules, les bosons sont des particules qui peuvent porter des forces. Certaines théories suggèrent qu'il pourrait y avoir de nouveaux types de bosons au-delà des connus comme le boson de Higgs. Ces nouveaux bosons pourraient aider les physiciens à comprendre les interactions et les forces d'une manière nouvelle. La recherche se concentre sur les bosons qui se décomposent en types de particules spécifiques, ce qui est plus facile à détecter dans le chaos des événements de collision.
Plage de Masse d'Intérêt
L'étude couvre une plage de masse pour ces nouvelles particules potentielles allant de 1,0 TeV à 6,8 TeV. À ces masses élevées, les scientifiques ciblent les décompositions de bosons hadroniques parce qu'ils produisent facilement des produits de décomposition détectables grâce à leur haute énergie. Pour reconnaître les particules produites lors de ces décompositions, les chercheurs utilisent des techniques spécifiques pour collecter et analyser les données plus efficacement.
Techniques d'Analyse des Données
Pour analyser les données, les scientifiques cherchent des signes de nouveaux bosons dans les motifs des produits de décomposition. Ils appliquent des techniques avancées, comme le tagging de bosons boostés, pour améliorer leurs chances de trouver ces particules insaisissables. Ça implique d'identifier des produits de décomposition qui sont très collimatés, c'est-à-dire qu'ils sont très rapprochés dans l'espace, permettant aux chercheurs de mieux les distinguer du bruit de fond généré lors des collisions.
Résultat des Recherches
Malgré des recherches approfondies, aucune preuve de nouveaux bosons n'a été trouvée au-dessus des niveaux de fond attendus de la physique connue. Les chercheurs ont calculé des limites sur la fréquence à laquelle ces nouveaux bosons pourraient être produits, ce qui aide à affiner leur compréhension des propriétés que ces particules hypothétiques auraient. Ils ont comparé leurs mesures à différentes attentes théoriques issues de divers modèles de production.
Qu'est-ce Qui Suit ?
En regardant vers l'avenir, les scientifiques continuent de collecter plus de données et d'affiner leurs techniques d'analyse. L'espoir est qu'avec assez de données, ils finiront par découvrir des preuves de ces nouvelles particules. Le collisionneur et ses détecteurs sont constamment améliorés pour permettre des recherches plus profondes et plus efficaces à l'avenir.
Le Rôle du Détecteur ATLAS
Le détecteur ATLAS est essentiel pour ces expériences. Il est conçu pour observer une large variété de particules produites lors des collisions. Sa structure lui permet de capturer efficacement des informations sur les particules chargées et neutres. Alors que les protons s'affrontent à haute vitesse, une pléthore de particules entre en jeu, et le détecteur ATLAS enregistre leurs propriétés.
Performance du Détecteur ATLAS
Le détecteur ATLAS comprend divers composants qui travaillent ensemble. Il utilise des systèmes de suivi avancés pour suivre les trajectoires des particules chargées. Des calorimètres mesurent l'énergie des particules, tandis qu'un spectromètre à muons détecte des particules plus lourdes comme les muons. Ensemble, ces systèmes permettent aux chercheurs de collecter un ensemble complet de données sur ce qui se passe lors des collisions.
Période de Collecte des Données
Les données pour cette analyse ont été collectées sur plusieurs années. De 2015 à 2018, les physiciens ont mené une série d'expériences pendant que le LHC était opérationnel. Pendant ce temps, ils ont enregistré des événements où des Photons à haute énergie étaient produits, en se concentrant particulièrement sur la façon dont ces particules interagissaient avec d'autres particules.
Utilisation de Simulations Monte Carlo
Pour compléter les données expérimentales, les scientifiques utilisent des simulations pour modéliser à quoi devraient ressembler les fonds. Ça les aide à distinguer les signaux réels du bruit de fond aléatoire. En utilisant des méthodes de Monte Carlo, les chercheurs simulent des événements de collision possibles et leurs résultats, fournissant une référence avec laquelle comparer les données réelles.
Sélection de Photons et de Jets
Dans l'analyse, les chercheurs ont fait certains choix sur les particules sur lesquelles se concentrer. Ils ont cherché des événements avec des photons à haute énergie et des jets, qui sont des collections de particules issues des collisions. Des critères spécifiques ont été établis pour s'assurer que seuls les événements les plus pertinents étaient analysés, améliorant l'efficacité globale de la recherche.
Catégorisation des Événements
Pour affiner encore leur analyse, les scientifiques ont catégorisé les événements en fonction de propriétés spécifiques. Cette catégorisation aide à identifier quels signaux sont plus susceptibles de correspondre à la présence de nouveaux bosons. En triant les événements en différents types, ils peuvent mieux isoler les signaux potentiels du bruit de fond attendu.
Dernières Pensées
Dans l'ensemble, cette recherche de nouveaux bosons lourds avec ATLAS est un effort en cours dans le domaine de la physique des particules. Le manque de découvertes ne décourage pas les scientifiques, qui continuent à développer de nouvelles techniques et à collecter des données. La quête pour percer les secrets de l'univers à travers des collisions à haute énergie reste une priorité, car les chercheurs croient que de nouvelles physiques attendent juste au-delà des limites actuelles de la compréhension. À mesure que la technologie avance, la capacité de sonder plus profondément les éléments fondamentaux de la matière le fera aussi, pouvant mener à de nouvelles découvertes passionnantes à l'avenir.
Titre: Search for high-mass $W\gamma$ and $Z\gamma$ resonances using hadronic W/Z boson decays from 139 fb$^{-1}$ of $pp$ collisions at $\sqrt{s}=$ 13 TeV with the ATLAS detector
Résumé: A search for high-mass charged and neutral bosons decaying to $W\gamma$ and $Z\gamma$ final states is presented in this paper. The analysis uses a data sample of $\sqrt{s} = 13$ TeV proton-proton collisions with an integrated luminosity of 139 fb$^{-1}$ collected by the ATLAS detector during LHC Run 2 operation. The sensitivity of the search is determined using models of the production and decay of spin-1 charged bosons and spin-0/2 neutral bosons. The range of resonance masses explored extends from 1.0 TeV to 6.8 TeV. At these high resonance masses, it is beneficial to target the hadronic decays of the $W$ and $Z$ bosons because of their large branching fractions. The decay products of the high-momentum $W/Z$ bosons are strongly collimated and boosted-boson tagging techniques are employed to improve the sensitivity. No evidence of a signal above the Standard Model backgrounds is observed, and upper limits on the production cross-sections of these bosons times their branching fractions to $W\gamma$ and $Z\gamma$ are derived for various boson production models.
Auteurs: ATLAS Collaboration
Dernière mise à jour: 2023-12-18 00:00:00
Langue: English
Source URL: https://arxiv.org/abs/2304.11962
Source PDF: https://arxiv.org/pdf/2304.11962
Licence: https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/
Changements: Ce résumé a été créé avec l'aide de l'IA et peut contenir des inexactitudes. Pour obtenir des informations précises, veuillez vous référer aux documents sources originaux dont les liens figurent ici.
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